Les 3 livres qui ont libéré l’entrepreneure que je n’osais pas être

Ces 3 livres m’ont aidée dans ma transformation professionnelle, de dirigeante frustrée à entrepreneure alignée.
Inspiration et leviers concrets pour oser prendre sa place.
J’avais tout ce qu’il fallait pour être heureuse dans ma carrière de dirigeante salariée. Un beau poste, un bon salaire, la reconnaissance de mes pairs, de mes équipes et de ma hiérarchie. Quand j’ai annoncé mon départ, j’ai pris tout le monde de court.
Pourtant, malgré cette réussite apparente, je sentais une puissance qui demandait à s’exprimer. Quelque chose d’inexploité qui cherchait sa voie. Je ne savais ni quoi, ni comment, mais je savais que je devais y répondre.
Alors j’ai refusé un CDI. Et je me suis lancée dans l’entrepreneuriat, guidée par trois lectures qui ont tout changé. Je vous les partage dans cet article.
Si vous ressentez cette même énergie bridée, cette envie d’autre chose malgré une carrière qui « fonctionne », ces trois lectures pourraient aussi libérer ce que vous n’osez pas encore être.
« Commencez par pourquoi » de Simon Sinek
Trouver son alignement profond
Laisser de la place à ce qui doit émerger
Lorsque j’ai quitté mon poste, je me suis lancée sans parachutes. Un saut dans le vide, pour voir ce qui émerge. Certains m’ont trouvé inconsciente, d’autres ont applaudi. Mais ce qui est sûr, c’est que j’étais seule face à moi-même. Personne ne comprenait ce qui se passait vraiment. Moi-même, j’avais des difficultés à le faire émerger. Mais je sentais que si je n’écoutais pas cette pulsion, je me sentirai bridée le reste de ma vie. J’avais 43 ans.
Lorsque j’ai ouvert “Commencez par pourquoi”, je ne savais pas encore à quel point j’allais faire une plongée au plus profond de moi.
Simon Sinek pose une question simple, mais révolutionnaire : pourquoi faites-vous ce que vous faites ? Pas “comment”, pas “quoi”, mais “pourquoi”.
J’ai commencé ma nouvelle carrière par accompagner des transitions et des repositionnements en entreprise. Par des missions de freelance en communication. Du coaching d’équipe. Je permettais à des professionnels de se reconnecter à leur vrai potentiel, de prendre confiance en leur capacité, d’apprendre à travailler en équipe. Et cela m’épanouissait vraiment.
Pour autant, je tournais autour de quelque chose d’essentiel sans arriver à le nommer clairement. Mon pourquoi a pris du temps. Je l’ai cherché avec assiduité, et parfois du désespoir.
A force de réflexions, et de pivots dans mon activité, j’ai fini par le saisir : je voulais réhabiliter la gentillesse en entreprise. Permettre aux professionnels compétents mais discrets de prendre enfin leur juste place. Et faire bouger les mentalités sur la gentillesse. Cette prise de conscience a transformé ma vision de l’accompagnement et a posé les bases de ce qui allait devenir Trajectoires.
Quand votre « pourquoi » est clair, les décisions deviennent plus simples. Même les plus audacieuses.
Aujourd’hui, cette recherche du « pourquoi » est au cœur de mes accompagnements. Parce que sans alignement, il n’y a pas de puissance authentique.
Comment trouver votre pourquoi : ce que nous dit Simon Sinek
Simon Sinek donne une méthode pour trouver votre “pourquoi”.
Étape 1 : Identifiez vos moments fondateurs
Repensez aux expériences qui vous ont le plus marqué professionnellement. Quand vous êtes-vous senti le plus utile ? Quand avez-vous eu l’impression de faire vraiment la différence ?
Pour moi, c’était chaque fois que j’aidais quelqu’un à révéler un potentiel qu’il ne soupçonnait pas. Ces moments où je voyais un profil discret prendre confiance et oser s’affirmer.
Étape 2 : Analysez vos contributions naturelles
Qu’est-ce que les autres viennent spontanément chercher chez vous ? Quel type d’aide vous demande-t-on régulièrement ? Ces demandes récurrentes révèlent souvent votre zone de génie naturel.
Dans mon cas, on me demandait souvent des conseils de stratégie de positionnement et d’influence. Et aussi sur les choix de carrière. Ces sollicitations récurrentes m’ont fait comprendre que j’avais une capacité naturelle à aider les autres à se positionner et à faire des choix alignés.
Étape 3 : Définissez l’impact que vous voulez avoir
Simon Sinek l’explique : votre pourquoi n’est pas ce que vous faites, c’est l’effet que vous voulez produire sur les autres. Comment voulez-vous que les gens se sentent après avoir interagi avec vous ?
Pour ma part, je veux que les personnes que j’accompagne se sentent libérées, puissantes et alignées. Qu’elles repartent avec la certitude qu’elles peuvent être elles-mêmes tout en réussissant.
La formule de Sinek : « Contribuer à [impact désiré] afin que [vision du monde] »
Mon pourquoi pourrait se formuler ainsi : « Contribuer à révéler la puissance des professionnels gentils, afin de construire une société plus humaine et égalitaire. »
Et le vôtre ?
Étape 4 : Testez votre pourquoi
Un vrai pourquoi vous donne de l’énergie quand vous l’énoncez. Il résonne émotionnellement. Si votre formulation vous laisse froid, creusez encore.
Votre pourquoi n’est pas forcément grandiose. Il doit juste être authentiquement vôtre.
Pour moi, le test est simple : lorsque j’utilise l’expression « professionnel gentil », je vois que les gens tiquent. La gentillesse est assimilée à de la naïveté et de la faiblesse. Et pourtant, il n’y a pas d’équivalent pour décrire ces profils empathiques et compétents. Cette réaction me motive encore plus : réhabiliter la gentillesse, en faire mon combat, c’est exactement ce qui me donne de l’énergie.
COMMENCEZ PAR POURQUOI, de Simon Sinek
De Martin Luther King à Steve Jobs, en passant par les frères Wright, Commencer par pourquoi démontre que les leaders qui savent inspirer les gens pensent, agissent et communiquent tous de la même façon, une façon diamétralement opposée à celle de tous les autres. Riche d’un vaste éventail d’histoires vécues, ce livre procure une structure permettant de mettre sur pied des organisations, de diriger des mouvements et d’inspirer des gens, tout cela à partir de POURQUOI.

« Les mots sont des fenêtres » de Marshall Rosenberg
Le pouvoir transformateur du langage
Prendre conscience de l’impact de mes mots
Avec un master de Lettres Modernes et une expérience de 18 ans en communication, je pensais connaître le pouvoir des mots. Et pourtant…
Marshall Rosenberg, fondateur de la Communication Non Violente (CNV), m’a ouvert les yeux sur une évidence que j’avais sous-estimée : nos mots construisent notre réalité et celle des autres.
J’ai réalisé l’impact des mots que l’employais sur mon entourage. Qu’ils soient positifs ou négatifs. Mais surtout, j’ai compris que ma façon de me parler à moi-même freinait ma propre évolution.
Nos mots construisent notre réalité. Y compris ceux qu’on se dit à soi-même. Souvent, nous sommes durs avec nous-mêmes. Et nous nous sabotons sans même nous en rendre compte.
« Tu aurais dû mieux faire. » « Quelle idiote, pourquoi tu as dit ça ? »
Ce petit saboteur intérieur, je le connaissais bien. Il me parlait comme je n’aurais jamais osé parler à un ami. Il me massacrait au quotidien.
Ces petites phrases assassines avaient un impact sur ma sérénité et ma confiance, que je sous-estimais complètement.
Je ne pouvais pas me lancer dans une activité d’entrepreneure en laissant ces mots saboteurs fermer les fenêtres de mon avenir professionnelle.
Démonter son système d’auto-sabotage
“Les mots sont des fenêtres”. Cette métaphore a également révolutionné ma vision de l’accompagnement. Il s’agissait d’ouvrir les fenêtres et de laisser les gens respirer. Ils avaient besoin d’air.
J’ai appris à écouter différemment, à reformuler avec précision, à poser des questions qui ouvrent plutôt que des mots qui ferment. Ces compétences sont devenues le socle de ma pratique professionnelle.
Aujourd’hui, quand j’accompagne un professionnel, je reste connectée à cette simple observation : Comment mon client parle-t-il de lui-même ? Quel vocabulaire utilise-t-il pour se raconter ? Se laisse-t-il la possibilité de s’observer sans se juger ? D’identifier et comprendre ses besoins sous-jacents ?
Changer son langage interne, c’est changer sa posture externe.
Les 4 étapes de la méthode CNV selon Marshall Rosenberg
Dans son livre, Rosenberg propose une méthode structurée en 4 étapes pour transformer notre façon de communiquer :
1. Observer sans juger
Décrire les faits de manière objective, sans interprétation ni évaluation.
Au lieu de « Tu es toujours en retard » (jugement), dire « Quand tu arrives à 9h15 pour notre rendez-vous de 9h… » (observation factuelle).
2. Exprimer ses sentiments
Identifier et nommer ce que nous ressentons réellement.
Cette étape demande de faire la différence entre un sentiment authentique (« Je me sens inquiète ») et une interprétation déguisée (« Je me sens méprisée » = « Je pense que tu me méprises »).
3. Identifier ses besoins
Reconnaître le besoin fondamental non satisfait derrière l’émotion.
Rosenberg postule que toute émotion révèle un besoin : sécurité, reconnaissance, autonomie, connexion, etc. Cette étape évite de tomber dans les stratégies sans issues (ce qu’on veut que l’autre fasse : « fais des efforts pour arriver à l’heure ») pour se concentrer sur l’essentiel (ce dont on a vraiment besoin : « je me sens respectée quand tu arrives à l’heure, c’est important pour moi »).
4. Formuler une demande claire
Proposer une action concrète, réalisable et mesurable.
Il s’agit d’une demande, pas d’une exigence. « Pour t’assurer d’arriver à l’heure, je te propose de mettre une alarme 15 minutes avant notre rendez-vous ». L’autre a le droit de refuser, ce qui ouvre alors la négociation.
Comment j’ai adapté la CNV à nos dialogues intérieurs assassins
En découvrant cette méthode, j’ai rapidement compris qu’elle pouvait s’appliquer au dialogue que nous entretenons avec nous-mêmes. Si nos mots construisent notre réalité avec les autres, ils façonnent aussi notre relation à nous-même.
J’ai donc adapté les 4 étapes de Rosenberg pour aider mes clients à transformer leur dialogue intérieur destructeur. Au lieu de subir ce petit saboteur qui les massacre au quotidien, ils apprennent à dialoguer avec lui comme avec un interlocuteur externe.
Cette adaptation est devenue un outil central de mes accompagnements. Parce que les professionnels discrets ont souvent une tendance marquée à l’auto-critique. Ils se parlent avec une dureté qu’ils n’infligeraient jamais à un proche. Cette violence intérieure mine leur confiance et freine leur évolution.
Transformer ce dialogue, c’est retrouver un allié bienveillant là où il y avait un ennemi intérieur.
Exemple concret : quand je n’arrivais pas à dire “non” à un client
Contexte initial :
Prenons une situation assez courante au tout début de mon activité d’entrepreneure (coach et consultante en communication) : un client qui abuse de ma serviabilité, multiplie les demandes hors cadre, et moi qui n’arrive pas à le recadrer fermement.
Mon dialogue interne (noté dans mes cahiers de réflexion en 2023) :
« Je suis faible, je ne sais pas poser mes limites. Alors que cela ne me posait plus de problèmes depuis longtemps. A cause de cela, je cours toujours après le temps et c’est de ma faute. Je me mets dans le rouge toute seule. »
Appliquons la CNV à ce dialogue interne toxique :
1. J’observe ce qui se passe « Je remarque que je me traite de “faible” quand je n’arrive pas à recadrer ce client abusif. »
2. J’identifie ce que je ressens « Je me sens angoissée, tiraillée, en colère contre moi-même. »
3. Je reconnais mes vrais besoins « J’ai besoin de conserver ce lien humain et partenarial fort avec mes clients. Car c’est ce qui distingue mes accompagnements. Mais j’ai aussi besoin de protéger mon temps pour développer mon activité et ma clientèle. J’ai besoin d’accepter que c’est une activité professionnelle et que je mérite un cadre clair et structuré pour la développer sereinement. »
4. Je me parle avec respect « Je vis un cas de conscience légitime entre deux valeurs importantes pour moi : le lien humain et la rentabilité de mon activité. Comment puis-je honorer à la fois mon besoin de relation authentique et mon besoin de viabilité économique ? »
Le résultat :
Au lieu de me flageller pour ma « faiblesse », je comprends que j’essaie de trouver le point d’équilibre entre des besoins complexes et légitimes. Cette réflexion m’a aidé à trouver des solutions concrètes : définir un cadre clair dès le départ, expliquer mes tarifs avec bienveillance mais clarté, proposer des alternatives quand les demandes débordent.
Je passe de « je suis faible » à « je cherche l’équilibre juste ». C’est plus constructif et plus proche de la réalité. Et surtout, j’écoute et je comprends mes besoins.
LES MOTS SONT DES FENETRES (OU BIEN CE SONT DES MURS) de Marshall Rosenberger
La plupart d’entre nous ont été élevés dans un esprit de compétition, imprégnés de préjugés et d’intolérance. Cette éducation nous conduit le plus souvent à une mauvaise compréhension des autres. Elle engendre au quotidien de la colère, des frustrations et des comportements agressifs.
Une communication de qualité avec les autres est une des compétences les plus précieuses qui soit, dans sa vie personnelle comme au travail.

« Libérez votre créativité » de Julia Cameron
S’autoriser l’audace de l’imperfection
Dépasser les peurs et les blocages trop rationnels
Julia Cameron propose une approche révolutionnaire : s’astreindre à une discipline d’écriture quotidienne pour libérer sa créativité. Les « pages du matin » – trois pages d’écriture libre chaque jour – sont devenues mon rituel de clarification.
Au début, j’étais sceptique. Ecrire, sans s’arrêter, pendant 15 minutes, quelles que soient les idées qui vous passent par la tête, est un peu perturbant. Cela donne un joyeux charabia. Mais au fil des jours, je remarquais des patterns récurrents. Je les explorais pour en dénouer les tensions. Puis, d’une idée, à l’autre, je devenais plus créative, pertinente. Je laissais de la place à ce qui émergeait. Alors qu’auparavant, j’aurais cherché une logique rationnelle.
C’est ainsi qu’à émergé mon “Pourquoi” et cette mission fondamentale d’accompagner les “gentils”.
Note de mon cahier : « pourquoi ce terme « gentil est-il aussi galvaudé, méprisé ? La gentillesse est mal considérée. Et pourtant elle représente une vraie réalité et une souffrance chez mes clients. Redonner sa place à la gentillesse dans les entrereprises, ne serait-ce pas le sens de tout ce que je construis ces dernières années ? ».
Déclic.
Au fil des pages, cette écriture libre m’a permis de donner un sens très personnel et incarné à ce mot malmené : la gentillesse.
Ces derniers mois, ma pratique d’écriture quotidienne, sans contraintes ni objectifs, m’a vraiment aidée à dépasser mes limites. Mais aussi mes peurs. Peur du jugement, peur de l’échec, peur de ne pas être légitime. En écrivant sans filtre chaque matin, j’ai pu identifier et désamorcer ces résistances internes.
Ce livre m’a aussi appris quelque chose d’essentiel : la créativité ne demande pas la perfection, elle demande la régularité. Et pour la perfectionniste que je suis, c’est une leçon qui ouvre tous les possibles.
Une leçon qui m’a permis d’oser me lancer sans attendre d’avoir toutes les réponses.
Comment la discipline créative a libéré mon entrepreneuriat
Paradoxalement, c’est en m’imposant une discipline quotidienne que j’ai trouvé ma liberté créative. Cette pratique m’a donné l’audace nécessaire pour imaginer une approche plus personnelle du coaching, plus sobre et plus incarnée.
Elle m’a aussi permis de développer ma propre méthode d’accompagnement, en puisant dans mes expériences et mes observations. Sans cette permission de créer imparfaitement, Trajectoires n’existerait pas.
C’est avec ces pages du matin que j’ai trouvé mon Pourquoi.
C’est avec les pages du matin que j’ai débusqué mes dialogues internes toxiques. Relire sur mon cahier ces mots durs et emplis de jugements m’a profondément interpellé.
Pour oser être soi-même, se connecter à son “Pourquoi”, il faut d’abord s’autoriser à explorer sans jugement.
Les instructions de Julia Cameron :
« Chaque jour, programmez votre réveil une demi-heure plus tôt ; levez-vous pour écrire trois pages manuscrites de ce qui vous vient à l’esprit dès le matin. Ne relisez pas ces pages, ne permettez pas non plus à quiconque de les lire. L’idéal serait de les glisser dans une grande enveloppe ou de les cacher quelque part. Bienvenue aux pages du matin. Elles vont vous faire changer. »
Les rituels et exercices de créativité proposée par Julia Cameron sont beaucoup plus nombreux et plus riches que ces seules pages du matin. Mais c’est cette nouvelle routine qui a été la plus féconde pour moi.
A vous de trouver l’exercice de créativité qui fera émerger ce qui doit l’être. Tentez l’aventure. Vous ne le regretterez pas.
LIBEREZ VOTRE CREATIVITE de Julia Cameron
Donnez-vous enfin la permission d’exister et de créer. Avez-vous renoncé à vos rêves d’enfant et d’adolescent ? Vous laissez-vous influencer par vos peurs et votre raison ? Pour Julia Cameron, plus l’écart se creuse entre notre Moi créateur et notre Moi rationnel, plus notre goût de vivre s’émousse. En levant nos blocages, nos mauvaises habitudes et nos inhibitions, on libère une vitalité et une créativité inestimables.

3 livres, 3 fondamentaux : trouver son « Why », comprendre le pouvoir des mots, oser être créatif
Ces trois livres ont forgé l’entrepreneure que je suis aujourd’hui et la manière dont j’accompagne mes clients.
Avant ce travail d’introspection et de retour à l’essentiel, je ne me serais jamais autorisée à prendre ma place. Et à la revendiquer. Ces lectures ont révélé qui je pouvais devenir.
Trouver son « pourquoi », comprendre le pouvoir des mots, oser être créatif : ces trois leviers peuvent libérer votre propre puissance inexploitée. Et vous permettre d’incarner pleinement ce que vous portez déjà.
La question n’est plus de savoir si vous avez cette puissance en vous. Elle est de savoir quand vous allez enfin lui permettre de s’exprimer.
Pour aller plus loin : 3 questions de coach
Avant de retourner dans le tumulte de vote quotidien, prenez le temps de vous poser ces questions. Elles vous aideront à identifier où vous en êtes et quels leviers actionner en priorité.
1. Situation concrète/Vécu
Pensez à un moment récent où vous avez ressenti cette « puissance inexploitée » dans votre travail actuel. Dans quel contexte précis cela s’est-il manifesté ? Qu’avez-vous fait de cette énergie ?
2. Regard extérieur/Perspective
Si un collègue proche devait décrire ce qui vous anime vraiment au-delà de vos missions officielles, que dirait-il selon vous ? Cette perception correspond-elle à ce que vous ressentez intérieurement ?
3. Action immédiate/Levier concret
Parmi ces trois approches – clarifier votre « pourquoi », transformer votre langage interne, ou vous autoriser l’imperfection créative – laquelle pourriez-vous expérimenter dans les 15 prochains jours ? Comment allez-vous vous y prendre concrètement ?
Ces questions vous invitent à reconnaître cette puissance qui demande à s’exprimer pour que vous puissiez enfin lui donner sa place.
Cet article participe à l’événement « Les 3 livres qui ont changé ma vie » du site Des Livres pour changer de vie. J’apprécie beaucoup ce site, et en fait mon article préféré est celui-ci 198 citations pour se forger un moral d’acier
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Merci pour ce partage 🙏
J’aime la façon dont tu montres que ces lectures ne sont pas seulement inspirantes, mais qu’elles t’ont amenée à des prises de conscience et à des changements très concrets. Ça donne envie de les découvrir et de voir ce qu’elles pourraient déclencher chez soi.
Les livres sont de formidables outils de transformation. Je vous les recommande vivement 🙂
Merci pour ces références! Je connais bien le dernier qui me sert de bible sur mon bureau et dans mon atelier. Je vais de ce pas creuser mon « pourquoi » avec les pistes que tu nous as révélées.
Bon voyage à toi ! Clarifier son Pourquoi est une expérience qui transforme.
Ton article absolument remarquable vient de me faire ajouter 3 livres à ma pile. J’ai pris des notes tout le long, parce qu’en liant les messages des auteurs à ton expérience, tu nous invites à nous questionner et à (mieux) nous aligner. Bravo pour ce travail structuré et efficace, et longue vie au Mouvement des gentils ❤️
Un grand merci Eva. J’espère que ces livres vous apporteront autant qu’à moi. Tenez moi au courant !
Merci pour ces petites !
Merci pour cet article enrichissant. Chaque livre donne envie de s’y plonger et de mettre en pratique les enseignements. Bravo pour votre travail et cette mission de mettre en avant la gentillesse et permettre aux personnes discrètes de révéler leur plein potentiel.
Merci beaucoup Jeanne pour vos encouragements. C’est une mission qui me tien à coeur. Je vous souhaite de belles lectures.
Merci pour ta belle mission et le partage de ces 3 livres qui t’ont aidée à la révéler!
Si je reprends le processus du WHY, je pense que le mien serait contribuer à développer l’harmonie en nous et autour de nous afin d’oeuvrer pour la Terre et le Vivant.
Très bonne journée!!
C’est un beau WHY et une belle mission, Flore ! Les « why » les plus motivants sont souvent ce qui nous relie à quelque chose de plus grand que nous, comme le vôtre. Dans mon cas, c’est de créer un impact sociétal en aidant les profils gentils à prendre leur place..
Merci pour ce partage. J’aime beaucoup découvrir ce genre de lectures qui peuvent provoquer de vrais déclics. Tu m’as donné envie de me plonger dans ces trois livres pour voir quel impact ils pourraient avoir sur ma propre façon d’entreprendre.
Chaque trajectoire est personnelle et différente. mais j’espère que ces lectures t’apporteront autant qu’à moi. Bon voyage !
Merci, c’est toujours très enrichissant de découvrir les livres capables de nous modifier, de nous faire avancer un peu différemment. Merci pour ces références.
Avec plaisir Olivia.
J’ai eu l’impression de lire un bout de mon propre chemin dans ton article.
Ces livres-là, c’est un peu comme des phares dans le brouillard : ils éclairent ce qu’on est… et ce qu’on peut devenir. Ton analyse de Simon Sinek me donne un vrai coup de pouce pour enfin creuser mon “Why” (fini les « je verrai plus tard »). Et puis, ce “Libérez votre créativité” m’intrigue beaucoup… j’ai déjà mes notes vocales du matin, mais qui sait ce qu’il pourrait réveiller de plus ?
Et pour conclure, je ressens comme toi que « la gentillesse est mal considérée » et je souhaite à ma façon » lui redonner sa place ». Mille mercis Magalie, pour ton partage et ton formidable article.
Je suis heureuse que mon article te donne envie d’aller encore plus loin dans tes explorations. Et d’avoir trouvé un allié pour réhabiliter la gentillesse, cette qualité malmenée et galvaudée. Plus nous serons nombreux à lui redonner ses lettres de noblesse, plus nous aurons d’impact.
Merci infiniment pour cet article. Personnellement, je retiens le livre sur le pouvoir des mots. Un exercice que je mets en pratique (Quand j’y pense…). Lorsque tu parles d’autosabotage, ca me parle beaucoup. On ne se rend pas compte de l’importance de ce qu’on dit. Que ce soit sur soi-même ou l’entaourage. Alors je travaille encore et encore sur le sujet pour rester positif au quotidien. J’avais entendu lors d’un séminaire : « on vaut beaucoup plus que ce qu l’on croit ». A bientôt
Oui, je te conseille vivement cette lecture. Les mots que nous employons au quotidien ont un tel impact. AU plaisir d’ne discuter avec toi
En tant que « gentille » je comprends bien tout ce que tu dis. Quand j entends « elle est gentille Aurélie », j y voyais une voie tracée pour qu on me marche dessus.
Il n’y a pas besoin d être agressif pour créer son cadre et son positionnement, c’est ce que ces livres me semblent confirmer.
Je vais m y atteler!