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Trop gentil.le pour réussir ?

Un test rapide (15 questions) pour comprendre ce qui vous freine… et comment transformer votre gentillesse en soft power stratégique.

3 dimensions analysées :
✅ Comportements professionnels
✅ Perception de soi et croyances
✅ Impact sur votre trajectoire, vos relations, vos ambitions

Découvrez votre profil, identifiez vos leviers de progression, sans renier vos valeurs.

Etes-vous trop gentil.le pour réussir ?

15 questions – 3 minutes – 100 % gratuit
Résultats + conseils personnalisés

1. Quand je sens qu’un désaccord arrive :

Je me tais ou j’arrondis les angles pour préserver la paix.

Je l’encaisse et je bouillonne.

Je me tais… mais je refais le débat dans ma tête pendant 3 jours

Je l’accueille et je le traite avec calme et clarté

2. Dans mon travail, j’ai le sentiment :

D’être apprécié·e, mais peut-être trop effacé·e.

D’être essentiel·le, mais pas promu.e pour autant.

D’être à ma juste place, même si je continue à progresser.

D’avoir de la valeur… mais personne ne le voit vraiment.

3. Face à une personnalité dominante

Je reste solide, même si ça bouscule un peu. Je sais me faire entendre.

Je perds un peu mes mots. Je sais quoi dire… après coup.

Je m’adapte pour ne pas froisser.

Je laisse couler, c'est inutile d’entrer en tension.

4. Quand on me demande un service de trop

Je dis oui, c’est normal, je tiens mon rôle.

Je dis oui, mais je m'en veux de ne pas avoir osé dire non.

Je dis oui… puis je me sens mal.

Je sais dire non, sans me justifier. Quand c’est non, c'est non.

5. Quand je pense à mes ambitions

Je les formule de manière floue de crainte de paraître arrogant.e.

Je n’ose pas les partager à mes collègues et supérieurs.

Je me dis que quelqu'un verra la vraie valeur de mon travail.

Je les assume et je les partage clairement, sans détour.

6. Poser une limite claire

M’inquiète. Et si ça abîmait la relation ?

Je le fais naturellement. Ça fait partie de mon mode de fonctionnement.

Me semble un risque inutile. Et si on me jugeait mal ?

Me confronte à une image dure de moi que je redoute.

7. Dans ma carrière

Je me suis adapté·e à ce qu’on attendait de moi.

J’ai des projets puissants, mais je ne les mets pas en lumière.

J’ai su me rendre visible, tout en restant aligné·e.

J'ai toujours été très compétent.e et apprécié.e, mais je plafonne

8. Quand on parle de “se vendre”

Je parle de ma valeur sans gêne. Ce n’est pas de la vente, c’est de la clarté.

Je me dis que mes résultats devraient suffire.

Je trouve ça inconfortable, presque agressif.

Je me sens tiraillé·e entre ambition et humilité

9. Si un collègue est promu à ma place

Je me dis que je ne joue pas dans la même cour

Je me dévalorise en silence… tout en sachant que j’étais meilleur·e.

Je le vis comme une injustice, mais je n’en parle pas. Je bouillonne intérieurement.

Je m’interroge sur ma stratégie, pas sur ma valeur.

10. Sur LinkedIn

Je regarde, je like… mais je ne poste jamais.

Je publie des posts… mais j’ai quand même peur d’être mal perçu·e.

Je m’exprime avec confiance, sans chercher l’approbation.

Je suis ultra-prudent·e, je pèse chaque mot.

11. Je me sens souvent

Aligné·e avec moi-même. Pas parfait·e, mais debout.

Pris·e pour acquis·e

Dissous dans les attentes des autres.

Trop gentil.le pour être vu·e comme un·e leader.

12. Quand je regarde mon parcours

J’ai eu une carrière “fluide”, mais peu choisie.

J’ai souvent ralenti, malgré moi, par peur d’être mal perçu.e

Je vois des choix assumés, même quand c’était difficile.

J’ai soutenu, porté… sans reconnaissance claire.

13. Quand je pense à “prendre ma place”

J’ai peur de me couper de l’équipe.

J’ai peur de trahir mes valeurs et de devenir “dur·e”.

J’ai peur d’être perçu·e comme égoïste.

Je n’attends plus. Je l’occupe, sans forcer, sans m’excuser.

14. Je me dis souvent

On finira par me donner un poste à ma juste valeur

Je mérite ma place. Et j’avance à mon rythme.

Je ne veux pas déranger

Je veux plus… mais je n’ai pas le bon mode d’emploi.

15. Globalement, ce que je cache le plus, c’est

Ma puissance

Ma lassitude

Mon désaccord

Plus grand-chose. Je n’ai plus envie de me déguiser pour exister

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