Ces 3 livres qui ont libéré l’entrepreneure que je n’osais pas être

Ces 3 livres qui ont libéré l’entrepreneure que je n’osais pas être

Les 3 livres qui ont libéré l’entrepreneure que je n’osais pas être

Ces 3 livres qui ont libéré l'entrepreneure que je n'osais pas être

Ces 3 livres m’ont aidée dans ma transformation professionnelle, de dirigeante frustrée à entrepreneure alignée.

Inspiration et leviers concrets pour oser prendre sa place.

J’avais tout ce qu’il fallait pour être heureuse dans ma carrière de dirigeante salariée. Un beau poste, un bon salaire, la reconnaissance de mes pairs, de mes équipes et de ma hiérarchie. Quand j’ai annoncé mon départ, j’ai pris tout le monde de court.

Pourtant, malgré cette réussite apparente, je sentais une puissance qui demandait à s’exprimer. Quelque chose d’inexploité qui cherchait sa voie. Je ne savais ni quoi, ni comment, mais je savais que je devais y répondre.

Alors j’ai refusé un CDI. Et je me suis lancée dans l’entrepreneuriat, guidée par trois lectures qui ont tout changé. Je vous les partage dans cet article.

Si vous ressentez cette même énergie bridée, cette envie d’autre chose malgré une carrière qui « fonctionne », ces trois lectures pourraient aussi libérer ce que vous n’osez pas encore être.

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Commencez par Pourquoi de Simon Sinek

« Commencez par pourquoi » de Simon Sinek
Trouver son alignement profond

Laisser de la place à ce qui doit émerger

Lorsque j’ai quitté mon poste, je me suis lancée sans parachutes. Un saut dans le vide, pour voir ce qui émerge. Certains m’ont trouvé inconsciente, d’autres ont applaudi. Mais ce qui est sûr, c’est que j’étais seule face à moi-même. Personne ne comprenait ce qui se passait vraiment. Moi-même, j’avais des difficultés à le faire émerger. Mais je sentais que si je n’écoutais pas cette pulsion, je me sentirai bridée le reste de ma vie. J’avais 43 ans.

Lorsque j’ai ouvert “Commencez par pourquoi”, je ne savais pas encore à quel point j’allais faire une plongée au plus profond de moi.

Simon Sinek pose une question simple, mais révolutionnaire : pourquoi faites-vous ce que vous faites ? Pas “comment”, pas “quoi”, mais “pourquoi”.

J’ai commencé ma nouvelle carrière par accompagner des transitions et des repositionnements en entreprise. Par des missions de freelance en communication. Du coaching d’équipe. Je permettais à des professionnels de se reconnecter à leur vrai potentiel, de prendre confiance en leur capacité, d’apprendre à travailler en équipe. Et cela m’épanouissait vraiment.

Pour autant, je tournais autour de quelque chose d’essentiel sans arriver à le nommer clairement. Mon pourquoi a pris du temps. Je l’ai cherché avec assiduité, et parfois du désespoir.

A force de réflexions, et de pivots dans mon activité, j’ai fini par le saisir : je voulais réhabiliter la gentillesse en entreprise. Permettre aux professionnels compétents mais discrets de prendre enfin leur juste place. Et faire bouger les mentalités sur la gentillesse. Cette prise de conscience a transformé ma vision de l’accompagnement et a posé les bases de ce qui allait devenir Trajectoires.

Quand votre « pourquoi » est clair, les décisions deviennent plus simples. Même les plus audacieuses.

Aujourd’hui, cette recherche du « pourquoi » est au cœur de mes accompagnements. Parce que sans alignement, il n’y a pas de puissance authentique.

Comment trouver votre pourquoi : ce que nous dit Simon Sinek

Simon Sinek donne une méthode pour trouver votre “pourquoi”.

Étape 1 : Identifiez vos moments fondateurs

Repensez aux expériences qui vous ont le plus marqué professionnellement. Quand vous êtes-vous senti le plus utile ? Quand avez-vous eu l’impression de faire vraiment la différence ?

Pour moi, c’était chaque fois que j’aidais quelqu’un à révéler un potentiel qu’il ne soupçonnait pas. Ces moments où je voyais un profil discret prendre confiance et oser s’affirmer.

Étape 2 : Analysez vos contributions naturelles

Qu’est-ce que les autres viennent spontanément chercher chez vous ? Quel type d’aide vous demande-t-on régulièrement ? Ces demandes récurrentes révèlent souvent votre zone de génie naturel.

Dans mon cas, on me demandait souvent des conseils de stratégie de positionnement et d’influence. Et aussi sur les choix de carrière. Ces sollicitations récurrentes m’ont fait comprendre que j’avais une capacité naturelle à aider les autres à se positionner et à faire des choix alignés.

Étape 3 : Définissez l’impact que vous voulez avoir

Simon Sinek l’explique : votre pourquoi n’est pas ce que vous faites, c’est l’effet que vous voulez produire sur les autres. Comment voulez-vous que les gens se sentent après avoir interagi avec vous ?

Pour ma part, je veux que les personnes que j’accompagne se sentent libérées, puissantes et alignées. Qu’elles repartent avec la certitude qu’elles peuvent être elles-mêmes tout en réussissant.

La formule de Sinek : « Contribuer à [impact désiré] afin que [vision du monde] »

Mon pourquoi pourrait se formuler ainsi : « Contribuer à révéler la puissance des professionnels gentils, afin de construire une société plus humaine et égalitaire. »

Et le vôtre ?

Étape 4 : Testez votre pourquoi

Un vrai pourquoi vous donne de l’énergie quand vous l’énoncez. Il résonne émotionnellement. Si votre formulation vous laisse froid, creusez encore.

Votre pourquoi n’est pas forcément grandiose. Il doit juste être authentiquement vôtre.

Pour moi, le test est simple : lorsque j’utilise l’expression « professionnel gentil », je vois que les gens tiquent. La gentillesse est assimilée à de la naïveté et de la faiblesse. Et pourtant, il n’y a pas d’équivalent pour décrire ces profils empathiques et compétents. Cette réaction me motive encore plus : réhabiliter la gentillesse, en faire mon combat, c’est exactement ce qui me donne de l’énergie.

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Les mots sont des fenetres de Rosenberg

« Les mots sont des fenêtres » de Marshall Rosenberg
Le pouvoir transformateur du langage

Prendre conscience de l’impact de mes mots

Avec un master de Lettres Modernes et une expérience de 18 ans en communication, je pensais connaître le pouvoir des mots. Et pourtant…

Marshall Rosenberg, fondateur de la Communication Non Violente (CNV), m’a ouvert les yeux sur une évidence que j’avais sous-estimée : nos mots construisent notre réalité et celle des autres.

J’ai réalisé l’impact des mots que l’employais sur mon entourage. Qu’ils soient positifs ou négatifs. Mais surtout, j’ai compris que ma façon de me parler à moi-même freinait ma propre évolution.

Nos mots construisent notre réalité. Y compris ceux qu’on se dit à soi-même. Souvent, nous sommes durs avec nous-mêmes. Et nous nous sabotons sans même nous en rendre compte.

« Tu aurais dû mieux faire. » « Quelle idiote, pourquoi tu as dit ça ? »

Ce petit saboteur intérieur, je le connaissais bien. Il me parlait comme je n’aurais jamais osé parler à un ami. Il me massacrait au quotidien.

Ces petites phrases assassines avaient un impact sur ma sérénité et ma confiance, que je sous-estimais complètement.

Je ne pouvais pas me lancer dans une activité d’entrepreneure en laissant ces mots saboteurs fermer les fenêtres de mon avenir professionnelle.

Démonter son système d’auto-sabotage

“Les mots sont des fenêtres”. Cette métaphore a également révolutionné ma vision de l’accompagnement. Il s’agissait d’ouvrir les fenêtres et de laisser les gens respirer. Ils avaient besoin d’air.

J’ai appris à écouter différemment, à reformuler avec précision, à poser des questions qui ouvrent plutôt que des mots qui ferment. Ces compétences sont devenues le socle de ma pratique professionnelle.

Aujourd’hui, quand j’accompagne un professionnel, je reste connectée à cette simple observation : Comment mon client parle-t-il de lui-même ? Quel vocabulaire utilise-t-il pour se raconter ? Se laisse-t-il la possibilité de s’observer sans se juger ? D’identifier et comprendre ses besoins sous-jacents ?

Changer son langage interne, c’est changer sa posture externe.

Les 4 étapes de la méthode CNV selon Marshall Rosenberg

Dans son livre, Rosenberg propose une méthode structurée en 4 étapes pour transformer notre façon de communiquer :

1. Observer sans juger

Décrire les faits de manière objective, sans interprétation ni évaluation.

Au lieu de « Tu es toujours en retard » (jugement), dire « Quand tu arrives à 9h15 pour notre rendez-vous de 9h… » (observation factuelle).

2. Exprimer ses sentiments

Identifier et nommer ce que nous ressentons réellement.

Cette étape demande de faire la différence entre un sentiment authentique (« Je me sens inquiète ») et une interprétation déguisée (« Je me sens méprisée » = « Je pense que tu me méprises »).

3. Identifier ses besoins

Reconnaître le besoin fondamental non satisfait derrière l’émotion.

Rosenberg postule que toute émotion révèle un besoin : sécurité, reconnaissance, autonomie, connexion, etc. Cette étape évite de tomber dans les stratégies sans issues (ce qu’on veut que l’autre fasse : « fais des efforts pour arriver à l’heure ») pour se concentrer sur l’essentiel (ce dont on a vraiment besoin : « je me sens respectée quand tu arrives à l’heure, c’est important pour moi »).

4. Formuler une demande claire

Proposer une action concrète, réalisable et mesurable.

Il s’agit d’une demande, pas d’une exigence. « Pour t’assurer d’arriver à l’heure, je te propose de mettre une alarme 15 minutes avant notre rendez-vous ». L’autre a le droit de refuser, ce qui ouvre alors la négociation.

Comment j’ai adapté la CNV à nos dialogues intérieurs assassins

En découvrant cette méthode, j’ai rapidement compris qu’elle pouvait s’appliquer au dialogue que nous entretenons avec nous-mêmes. Si nos mots construisent notre réalité avec les autres, ils façonnent aussi notre relation à nous-même.

J’ai donc adapté les 4 étapes de Rosenberg pour aider mes clients à transformer leur dialogue intérieur destructeur. Au lieu de subir ce petit saboteur qui les massacre au quotidien, ils apprennent à dialoguer avec lui comme avec un interlocuteur externe.

Cette adaptation est devenue un outil central de mes accompagnements. Parce que les professionnels discrets ont souvent une tendance marquée à l’auto-critique. Ils se parlent avec une dureté qu’ils n’infligeraient jamais à un proche. Cette violence intérieure mine leur confiance et freine leur évolution.

Transformer ce dialogue, c’est retrouver un allié bienveillant là où il y avait un ennemi intérieur.

Exemple concret : quand je n’arrivais pas à dire “non” à un client

Contexte initial :

Prenons une situation assez courante au tout début de mon activité d’entrepreneure (coach et consultante en communication) : un client qui abuse de ma serviabilité, multiplie les demandes hors cadre, et moi qui n’arrive pas à le recadrer fermement.

Mon dialogue interne (noté dans mes cahiers de réflexion en 2023) :

« Je suis faible, je ne sais pas poser mes limites. Alors que cela ne me posait plus de problèmes depuis longtemps. A cause de cela, je cours toujours après le temps et c’est de ma faute. Je me mets dans le rouge toute seule. »

Appliquons la CNV à ce dialogue interne toxique :

1. J’observe ce qui se passe « Je remarque que je me traite de “faible” quand je n’arrive pas à recadrer ce client abusif. »

2. J’identifie ce que je ressens « Je me sens angoissée, tiraillée, en colère contre moi-même. »

3. Je reconnais mes vrais besoins « J’ai besoin de conserver ce lien humain et partenarial fort avec mes clients. Car c’est ce qui distingue mes accompagnements. Mais j’ai aussi besoin de protéger mon temps pour développer mon activité et ma clientèle. J’ai besoin d’accepter que c’est une activité professionnelle et que je mérite un cadre clair et structuré pour la développer sereinement. »

4. Je me parle avec respect « Je vis un cas de conscience légitime entre deux valeurs importantes pour moi : le lien humain et la rentabilité de mon activité. Comment puis-je honorer à la fois mon besoin de relation authentique et mon besoin de viabilité économique ? »

Le résultat :

Au lieu de me flageller pour ma « faiblesse », je comprends que j’essaie de trouver le point d’équilibre entre des besoins complexes et légitimes. Cette réflexion m’a aidé à trouver des solutions concrètes : définir un cadre clair dès le départ, expliquer mes tarifs avec bienveillance mais clarté, proposer des alternatives quand les demandes débordent.

Je passe de « je suis faible » à « je cherche l’équilibre juste ». C’est plus constructif et plus proche de la réalité. Et surtout, j’écoute et je comprends mes besoins.

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Libérez votre créativité de Julia Cameron

« Libérez votre créativité » de Julia Cameron
S’autoriser l’audace de l’imperfection

Dépasser les peurs et les blocages trop rationnels

Julia Cameron propose une approche révolutionnaire : s’astreindre à une discipline d’écriture quotidienne pour libérer sa créativité. Les « pages du matin » – trois pages d’écriture libre chaque jour – sont devenues mon rituel de clarification.

Au début, j’étais sceptique. Ecrire, sans s’arrêter, pendant 15 minutes, quelles que soient les idées qui vous passent par la tête, est un peu perturbant. Cela donne un joyeux charabia. Mais au fil des jours, je remarquais des patterns récurrents. Je les explorais pour en dénouer les tensions. Puis, d’une idée, à l’autre, je devenais plus créative, pertinente. Je laissais de la place à ce qui émergeait. Alors qu’auparavant, j’aurais cherché une logique rationnelle.

C’est ainsi qu’à émergé mon “Pourquoi” et cette mission fondamentale d’accompagner les “gentils”.

Note de mon cahier : « pourquoi ce terme « gentil est-il aussi galvaudé, méprisé ? La gentillesse est mal considérée. Et pourtant elle représente une vraie réalité et une souffrance chez mes clients. Redonner sa place à la gentillesse dans les entrereprises, ne serait-ce pas le sens de tout ce que je construis ces dernières années ? ».

Déclic.

Au fil des pages, cette écriture libre m’a permis de donner un sens très personnel et incarné à ce mot malmené : la gentillesse.

Ces derniers mois, ma pratique d’écriture quotidienne, sans contraintes ni objectifs, m’a vraiment aidée à dépasser mes limites. Mais aussi mes peurs. Peur du jugement, peur de l’échec, peur de ne pas être légitime. En écrivant sans filtre chaque matin, j’ai pu identifier et désamorcer ces résistances internes.

Ce livre m’a aussi appris quelque chose d’essentiel : la créativité ne demande pas la perfection, elle demande la régularité. Et pour la perfectionniste que je suis, c’est une leçon qui ouvre tous les possibles.

Une leçon qui m’a permis d’oser me lancer sans attendre d’avoir toutes les réponses.

Comment la discipline créative a libéré mon entrepreneuriat

Paradoxalement, c’est en m’imposant une discipline quotidienne que j’ai trouvé ma liberté créative. Cette pratique m’a donné l’audace nécessaire pour imaginer une approche plus personnelle du coaching, plus sobre et plus incarnée.

Elle m’a aussi permis de développer ma propre méthode d’accompagnement, en puisant dans mes expériences et mes observations. Sans cette permission de créer imparfaitement, Trajectoires n’existerait pas.

C’est avec ces pages du matin que j’ai trouvé mon Pourquoi.
C’est avec les pages du matin que j’ai débusqué mes dialogues internes toxiques. Relire sur mon cahier ces mots durs et emplis de jugements m’a profondément interpellé.

Pour oser être soi-même, se connecter à son “Pourquoi”, il faut d’abord s’autoriser à explorer sans jugement.

Les instructions de Julia Cameron :

« Chaque jour, programmez votre réveil une demi-heure plus tôt ; levez-vous pour écrire trois pages manuscrites de ce qui vous vient à l’esprit dès le matin. Ne relisez pas ces pages, ne permettez pas non plus à quiconque de les lire. L’idéal serait de les glisser dans une grande enveloppe ou de les cacher quelque part. Bienvenue aux pages du matin. Elles vont vous faire changer. »

Les rituels et exercices de créativité proposée par Julia Cameron sont beaucoup plus nombreux et plus riches que ces seules pages du matin. Mais c’est cette nouvelle routine qui a été la plus féconde pour moi.

A vous de trouver l’exercice de créativité qui fera émerger ce qui doit l’être. Tentez l’aventure. Vous ne le regretterez pas. 

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3 livres, 3 fondamentaux : trouver son « Why », comprendre le pouvoir des mots, oser être créatif

Ces trois livres ont forgé l’entrepreneure que je suis aujourd’hui et la manière dont j’accompagne mes clients.

Avant ce travail d’introspection et de retour à l’essentiel, je ne me serais jamais autorisée à prendre ma place. Et à la revendiquer. Ces lectures ont révélé qui je pouvais devenir.

Trouver son « pourquoi », comprendre le pouvoir des mots, oser être créatif : ces trois leviers peuvent libérer votre propre puissance inexploitée. Et vous permettre d’incarner pleinement ce que vous portez déjà.

La question n’est plus de savoir si vous avez cette puissance en vous. Elle est de savoir quand vous allez enfin lui permettre de s’exprimer.

Pour aller plus loin : 3 questions de coach

Avant de retourner dans le tumulte de vote quotidien, prenez le temps de vous poser ces questions. Elles vous aideront à identifier où vous en êtes et quels leviers actionner en priorité.

1. Situation concrète/Vécu

Pensez à un moment récent où vous avez ressenti cette « puissance inexploitée » dans votre travail actuel. Dans quel contexte précis cela s’est-il manifesté ? Qu’avez-vous fait de cette énergie ?

2. Regard extérieur/Perspective

Si un collègue proche devait décrire ce qui vous anime vraiment au-delà de vos missions officielles, que dirait-il selon vous ? Cette perception correspond-elle à ce que vous ressentez intérieurement ?

3. Action immédiate/Levier concret

Parmi ces trois approches – clarifier votre « pourquoi », transformer votre langage interne, ou vous autoriser l’imperfection créative – laquelle pourriez-vous expérimenter dans les 15 prochains jours ? Comment allez-vous vous y prendre concrètement ?

Ces questions vous invitent à reconnaître cette puissance qui demande à s’exprimer pour que vous puissiez enfin lui donner sa place.

Cet article participe à l’événement « Les 3 livres qui ont changé ma vie » du site Des Livres pour changer de vie. J’apprécie beaucoup ce site, et en fait mon article préféré est celui-ci 198 citations pour se forger un moral d’acier

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Plafond de verre professionnel des gentils

Vous subissez profondément le plafond de verre professionnel spécifique des gentils ?

Découvrez les 4 mécanismes invisibles qui bloquent votre carrière et comment les dépasser sans renier vos valeurs.

Vous reconnaissez-vous ?

Vous êtes reconnu pour vos compétences. Vos résultats parlent d’eux-mêmes. Vos collègues vous respectent. Pourtant, votre carrière semble bloquée. Les promotions vous échappent. Les postes stratégiques vont à d’autres. Vous restez cantonné à l’excellence opérationnelle sans accéder aux responsabilités que votre expertise justifierait.

Le plafond de verre des gentils professionnels est un mécanisme invisible qui freine l’évolution de carrière malgré les compétences reconnues. Ce n’est ni un manque de talent ni un défaut de performance. C’est un système de codes implicites qui pénalise la discrétion et récompense la démonstration de force.

Comprendre ces mécanismes constitue la première étape pour les dépasser sans renier vos valeurs.

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Pourquoi les gentils rencontrent un plafond de verre professionnel

Un système qui récompense la visibilité avant la compétence

Le monde professionnel fonctionne sur une équation simple : visibilité = compétence perçue = évolution. Les décisions de promotion se prennent souvent sur la base d’une impression générale plutôt que sur une analyse fine des résultats.

Celui qui prend la parole en premier, qui défend ses positions avec assurance, qui occupe l’espace vocal et physique, sera inconsciemment perçu comme plus leader que celui qui livre la même expertise avec nuance et retenue.

Cette réalité crée un biais systémique : les gentils professionnels excellent dans la substance mais peinent à maîtriser les codes de la forme. Par conséquent, leur valeur réelle reste sous-estimée par leur hiérarchie.

 

Les biais inconscients qui pénalisent la discrétion

Les processus d’évaluation et de promotion reposent sur des critères souvent flous : « leadership », « impact », « potentiel ». Ces notions, mal définies, sont interprétées à travers le prisme des stéréotypes managériaux traditionnels.

En effet, un manager discret qui obtient d’excellents résultats par la collaboration sera perçu comme « moins leader » qu’un manager directif aux résultats équivalents. Sa méthode, plus subtile, devient invisible aux yeux d’une hiérarchie qui associe leadership et démonstration d’autorité.

Ainsi, les gentils avec un plafond de verre professionnel se trouvent pénalisés non par leurs résultats, mais par leur style de management et de communication.

Professionnel gentil plafond de verre carrière bloquée
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Les 4 mécanismes invisibles qui bloquent les gentils dans leur carrière

L’effacement automatique face aux personnalités dominantes

Premier mécanisme :

Ce plafond de verre professionnel se manifeste particulièrement lors des comités de direction ou des réunions stratégiques. Les professionnels discrets adoptent naturellement une posture d’écoute. Ils laissent la place aux personnalités plus expansives, même quand ils ont des analyses plus pertinentes.

Cependant, cette retenue est interprétée comme un manque d’ambition ou de vision. Les décideurs en concluent qu’ils ne sont « pas prêts » pour des responsabilités supérieures. L’humilité devient un frein à l’évolution. Pour les profils gentils, la promotion est difficile et bloquée à un certains niveau hiérarchique.

Deuxième mécanisme :

Quand ils prennent la parole, ils formulent leurs idées avec trop de nuances. « Il me semble que », « peut-être pourrait-on », « sous réserve de ». Cette précaution intellectuelle, louable sur le fond, affaiblit l’impact de leur message.

La sous-estimation systématique de leur potentiel de leadership

Troisième mécanisme :

Les gentils managers gèrent leurs équipes par la motivation plutôt que par la pression. Leurs collaborateurs sont engagés, leurs résultats sont bons, mais leur méthode reste invisible. On ne « voit » pas leur leadership parce qu’il ne fait pas de bruit.

En réalité, cette approche génère souvent de meilleures performances à long terme. Mais elle ne correspond pas à l’image du « manager qui a de l’impact » véhiculée dans beaucoup d’organisations.

Quatrième mécanisme :

Ils sous-communiquent leurs réussites. Là où d’autres mettent en avant chaque succès, ils considèrent que « le travail parle de lui-même ». Malheureusement, dans un environnement concurrentiel, cette modestie devient de l’invisibilité.

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Mécanismes invisibles plafond de verre professionnel
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Comment reconnaître votre plafond de verre professionnel

Les signaux du plafond de verre dans votre évolution professionnelle

Vous stagnez malgré d’excellentes évaluations.

Votre carrière est bloquée malgré vos compétences. Vos managers successifs vous qualifient de « pilier », de « référence technique », mais les promotions tardent. On vous confie des missions complexes sans vous donner le titre qui va avec.

On vous court-circuite sur les décisions stratégiques.

Vous êtes consulté pour votre expertise, mais exclu des arbitrages finaux. Votre avis compte, mais votre voix ne porte pas au niveau des orientations.

Vos idées sont validées… puis pilotées par d’autres.

Scénario récurrent : vous proposez une direction, elle est approuvée, mais c’est un profil plus « visible » qui hérite du projet. Vous restez dans l’exécution de vos propres recommandations.

Les patterns récurrents dans vos évaluations

« Manque de visibilité » revient systématiquement dans vos entretiens annuels.

On vous encourage à « vous affirmer davantage », à « prendre plus de place », sans vous expliquer concrètement comment faire.

Vos points d’amélioration portent sur la forme, jamais sur le fond.

Votre expertise n’est jamais remise en question, mais votre « posture » devient un enjeu récurrent. Cette focalisation révèle que le problème n’est pas votre compétence mais votre communication.

On vous cantonne aux rôles d’expertise plutôt qu’aux rôles de direction.

Vous devenez « l’expert », « le référent », « le conseil », mais rarement « le décideur ». Cette spécialisation vous enferme dans un plafond de verre doré.

Exploser le Plafond de verre professionnel des gentils
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Première étape : nommer pour dépasser

Sortir de la culpabilisation personnelle

Dépasser ce plafond de verre nécessite d’abord de le nommer. Reconnaître l’existence du plafond de verre des gentils vous libère d’une culpabilité improductive. Ce n’est pas votre personnalité qui pose problème, c’est l’inadéquation entre votre style et les codes dominants de votre organisation.

En effet, cette prise de conscience change tout : au lieu de vous forcer à devenir quelqu’un d’autre, vous pouvez ajuster votre communication pour que votre valeur soit enfin perçue à sa juste mesure.

Comprendre les enjeux systémiques

Le « gentil professionnel » qui fait face à une promotion difficile doit comprendre ces biais systémiques. Le plafond de verre professionnel n’est pas une fatalité personnelle mais un mécanisme organisationnel. Beaucoup d’entreprises perdent leurs meilleurs talents à cause de ces biais inconscients qui favorisent la forme sur le fond.

Cependant, comprendre le système vous donne les clés pour le surmonter plus efficacement. Votre gentillesse peut devenir un atout stratégique… à condition de savoir la structurer et l’affirmer selon les codes de votre environnement.

La prochaine étape ? Apprendre à transformer cette prise de conscience en leviers d’action concrets. Car ce plafond de verre, aussi solide soit-il, n’est pas incassable.

Pour aller plus loin : 3 questions de coach

Cette situation de carrière bloquée malgré vos compétences caractérise le syndrome du gentil professionnel. Avant de passer à l’action, prenez le temps de vous poser ces questions. Elles vous aideront à identifier précisément votre propre plafond de verre et les leviers pour le dépasser.

  1. Dans votre parcours professionnel, à quel moment avez-vous senti que votre évolution ne correspondait pas à vos résultats ?

Identifiez cette situation précise où vous avez réalisé que « quelque chose clochait » entre votre performance et votre reconnaissance. Qu’est-ce qui s’est joué à ce moment-là ? Cette analyse vous révélera les premiers signes de votre plafond de verre.

  1. Si vous observiez un collègue avec votre profil et vos résultats, diriez-vous qu’il mérite une promotion ?

Cette question du regard extérieur vous permet de mesurer l’écart entre votre valeur objective et votre capacité à la faire reconnaître. Souvent, nous sommes plus lucides sur la valeur des autres que sur la nôtre.

  1. Quel serait le premier code professionnel que vous accepteriez d’adopter pour faire évoluer votre carrière, sans trahir vos valeurs ?

Identifiez un ajustement concret de posture que vous pourriez tester. Par exemple : prendre la parole en premier sur votre domaine d’expertise, ou documenter systématiquement vos contributions. Quel premier pas vous semble à la fois faisable et aligné ?

Ces questions ne cherchent pas à vous faire renier votre discrétion. Elles vous invitent à ajuster votre communication pour que votre expertise soit enfin perçue comme un potentiel de leadership.

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Vous reconnaissez-vous dans ces mécanismes de plafond de verre ? Il est temps de mesurer précisément où vous en êtes.

Le test « Êtes-vous trop gentil pour réussir ? » vous permet d’identifier en 5 minutes vos freins spécifiques et vos leviers de progression prioritaires.

Trop gentil.le pour réussir ?

Un test rapide (15 questions) pour comprendre ce qui vous freine… et comment transformer votre gentillesse en soft power stratégique.

3 dimensions analysées :
 Comportements professionnels
 Perception de soi et croyances
 Impact sur votre trajectoire, vos relations, vos ambitions

Découvrez votre profil, identifiez vos leviers de progression, sans renier vos valeurs.

Etes-vous trop gentil.le pour réussir ?

15 questions – 3 minutes – 100 % gratuit
Résultats + conseils personnalisés

1. Quand je sens qu’un désaccord arrive :

2. Dans mon travail, j’ai le sentiment :

3. Face à une personnalité dominante

4. Quand on me demande un service de trop

5. Quand je pense à mes ambitions

6. Poser une limite claire

7. Dans ma carrière

8. Quand on parle de “se vendre”

9. Si un collègue est promu à ma place

10. Sur LinkedIn

11. Je me sens souvent

12. Quand je regarde mon parcours

13. Quand je pense à “prendre ma place”

14. Je me dis souvent

15. Globalement, ce que je cache le plus, c’est

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Trouvez votre fil d’or professionnel

Trouvez votre fil d’or professionnel

Votre fil d’or professionnel

Trouvez votre fil d'or professionnel : donnez du sens à votre parcours professionnel en 6 étapes puissantes

Trouvez votre fil d’or professionnel et donnez du sens à votre parcours en 6 étapes puissantes.

 Vous avez du mal à raconter votre parcours ? A trouver ce fameux fil d’or professionnel ?

Votre trajectoire professionnelle ne ressemble pas à une ligne droite. Elle est faite de virages, de détours, d’opportunités saisies à l’instinct…
Vous avez évolué, exploré plusieurs voies, rebondi, appris. Et pourtant aujourd’hui, mettre des mots sur ce chemin est devenu un casse-tête.

Vous sentez que vous avez changé.
Mais votre récit, lui, n’a pas suivi.

Ce que vous ressentez peut ressembler à ceci :

  • Vous avez du mal à relier les points de votre histoire.
  • Vous doutez de votre légitimité ou de votre crédibilité.
  • Vous ne savez plus vraiment comment parler de vous de manière claire et impactante.

Et si votre parcours professionnel avait un Fil d’Or caché ?

Ce Fil d’Or, c’est ce qui donne du sens à votre chemin.
C’est le fil conducteur qui relie chaque étape de votre trajectoire, même les plus inattendues.

Il révèle :

  • Vos valeurs profondes
  • Vos talents naturels
  • Vos choix les plus significatifs

Quand vous identifiez ce Fil d’Or, tout devient plus clair.
Vous pouvez raconter votre histoire avec cohérence, authenticité et puissance.

🚫 Pourquoi c’est si difficile à faire seul(e) ?

Parce que :

  • Vous êtes trop immergé(e) dans votre propre histoire.

  • Vous manquez de recul pour voir les liens évidents pour un œil extérieur.

  • Vous n’avez jamais appris à parler de vous en révélant votre singularité.

 

Imaginez si vous pouviez…

✅ Comprendre ce qui relie toutes vos expériences.
✅ Donner du sens à chaque virage, chaque changement.
✅ Exprimer avec fluidité ce qui vous rend unique.
✅ Créer un récit professionnel qui vous ressemble vraiment.
✅ Parler de vous avec clarté, confiance et impact.

Trouvez votre fil d'or professionnel en 6 étapes

Tutoriel : Les 6 étapes pour trouver votre Fil d’Or professionnel et clarifier votre parcours

 

🧭 Étape 1 : Prendre du recul sur votre histoire

Objectif : Sortir de la confusion pour voir votre parcours avec un œil neuf.

Vous êtes souvent trop plongé(e) dans votre propre parcours pour en percevoir le sens global. Cette première étape est une pause stratégique.

Exercice conseillé :

  • Dessinez une ligne du temps de votre parcours professionnel.
  • Notez les étapes clés, changements, réussites et échecs marquants.
  • Indiquez les émotions et apprentissages associés à chaque étape.

But : Commencer à observer les grandes lignes, sans chercher à tout expliquer.

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🔍 Étape 2 : Identifier vos talents, moteurs et valeurs

Objectif : Détecter les constantes qui vous animent profondément.

Derrière chaque choix, il y a une impulsion, une valeur, un talent. Ces éléments vous définissent.

Exercice conseillé :

  • Listez vos réalisations préférées : qu’est-ce qui vous a motivé ?
  • Demandez à 3 proches ou collègues : “Quels sont mes talents naturels selon toi ?”
  • Faites le test des valeurs ou utilisez une roue des valeurs professionnelles.

But : Faire émerger vos forces invisibles, celles que vous utilisez naturellement.

 

🧵 Étape 3 : Repérer les fils rouges de votre trajectoire

Objectif : Trouver ce qui revient en boucle dans vos expériences.

Même si les contextes changent, certains motifs reviennent : un type de mission, une posture, un rôle que vous endossez naturellement.

Exercice conseillé :

  • Relisez les moments forts de votre parcours (cf. étape 1).
  • Pour chaque étape, posez-vous la question : “Qu’est-ce que j’ai incarné ici ?”
  • Repérez les mots ou thèmes qui reviennent (ex : transmission, création, stratégie…).

But : Identifier les fils conducteurs de votre histoire.

 

🌱 Étape 4 : Clarifier votre vision et ce que vous incarnez aujourd’hui

Objectif : Vous reconnecter à ce qui vous anime aujourd’hui.

Vous avez évolué. Il est temps d’actualiser votre vision : qu’est-ce qui fait sens pour vous maintenant ?

Exercice conseillé :

  • Répondez à ces 3 questions puissantes :
    1. Quel changement ai-je envie de créer autour de moi ?
    2. Qu’est-ce qui m’indigne, m’enthousiasme ou m’obsède ?
    3. À quoi j’aimerais contribuer, avec ce que je suis ?

But : Poser les fondations de votre nouvelle posture professionnelle.

 

🪶Étape 5 : Structurer un récit fluide, cohérent et authentique

Objectif : Créer un fil narratif qui relie votre passé à votre présent avec impact.

Il ne s’agit pas d’inventer une histoire parfaite, mais de raconter votre chemin avec cohérence et sens.

Exercice conseillé :

  • Utilisez le schéma : “Avant – Déclencheur – Transformation – Aujourd’hui”
  • Écrivez votre parcours en 10 lignes maximum.
  • Vérifiez si votre Fil d’Or apparaît de façon fluide (vos valeurs, talents, vision).

But : Obtenir un pitch professionnel puissant, adapté à vos prises de parole (entretiens, présentations, réseaux sociaux…).

 

🎙️ Étape 6 : Partager votre histoire avec confiance et alignement

Objectif : Vous approprier pleinement votre récit et l’incarner.

Ce que vous racontez inspire confiance quand il est clair, aligné et sincère. C’est ce qui crée une vraie connexion.

Exercice conseillé :

  • Enregistrez-vous en train de raconter votre parcours.
  • Travaillez le ton, le rythme, les mots clés qui portent votre message.
  • Partagez-le à un pair ou à un coach pour avoir un retour.

But : Vous sentir fier(e), légitime et aligné(e) dans la façon de parler de vous.

 

Résumé visuel du processus pour trouver son Fil d’or professionnel :

Étape Objectif principal Résultat attendu
1 Prendre du recul Vision claire de votre parcours
2 Identifier vos talents et valeurs Conscience de vos forces naturelles
3 Repérer vos fils rouges Une trajectoire qui fait sens
4 Clarifier votre vision Posture et cap alignés
5 Structurer votre récit Pitch clair, fluide, percutant
6 Incarner et partager avec confiance Présence et légitimité renforcées

 

Découvrez l’accompagnement “Trouvez votre Fil d’Or”

Je vous accompagne à travers un parcours personnalisé en 6 étapes conçu pour vous aider à :

1. Prendre du recul sur votre histoire
2. Identifier vos talents, moteurs et valeurs
3. Mettre en lumière les fils rouges de votre trajectoire
4. Clarifier votre vision et ce que vous incarnez aujourd’hui
5. Construire un récit authentique et structuré
6. Savoir le partager avec aisance et puissance

 

Pour qui est cet accompagnement ?

  • Pour les professionnels en reconversion ou repositionnement

  • Pour les entrepreneurs qui veulent clarifier leur message

  • Pour les multipotentiels aux parcours riches mais fragmentés

  • Pour toute personne qui veut reprendre le pouvoir sur son récit professionnel

Les bénéfices concrets de ce travail :

Avant l’accompagnement Après l’accompagnement
Doute sur votre légitimité Confiance en votre singularité
Difficulté à vous présenter clairement Un pitch aligné et percutant
Impression d’un parcours “éclaté” Un récit fluide et cohérent
Manque de clarté sur votre cap Vision claire de votre trajectoire

Ce qu’en disent les personnes accompagnées

“J’ai enfin compris le sens de mon parcours, et je peux le raconter sans me justifier.”
“J’ai reconnecté avec ma boussole intérieure, tout s’aligne maintenant.”
“C’est la première fois que je me sens légitime de parler de ce que je fais.”

📩 Prêt(e) à (re)découvrir votre Fil d’Or ?

Cet accompagnement est bien plus qu’un exercice de storytelling :
C’est une reconnexion profonde à qui vous êtes et à ce que vous incarnez.

Si vous sentez que c’est le moment de reprendre la main sur votre récit, je vous invite à me contacter pour en discuter.
Un simple échange peut déjà amorcer une transformation.

❓ Foire aux Questions – FAQ

 

1. Cet accompagnement est-il fait pour moi même si je change souvent de voie ?

Oui ! C’est même pour ça qu’il existe. Il vous aidera à comprendre ce qui relie toutes vos transitions.

2. Je ne suis pas sûr(e) d’avoir une “histoire intéressante” à raconter…

Tout le monde a un Fil d’Or. Ce travail révèle la richesse cachée de votre parcours.

3. Combien de temps dure l’accompagnement ?

Il se déroule sur 6 étapes, avec un rythme personnalisé selon vos besoins.

4. Est-ce adapté aux entrepreneurs ?

Absolument. Clarifier votre récit est un levier puissant pour affirmer votre positionnement et connecter avec vos clients.

5. Est-ce que cela peut m’aider pour un changement de carrière ?

Oui, ce travail vous aide à poser des mots clairs sur votre trajectoire, ce qui est clé pour une transition réussie.

6. Comment puis-je réserver ma place ?

Envoyez-moi un message via le formulaire de contact ou en réponse à cette publication. Nous fixerons un premier échange exploratoire.

Conclusion : votre Fil d’Or existe déjà… il suffit de le révéler

Votre parcours n’est pas un puzzle sans logique. Il est porteur de sens, de valeur, et de richesse.
Ce Fil d’Or est là. Il attend d’être découvert et incarné.

Ne laissez pas le flou vous freiner.
Offrez-vous le cadeau de la clarté, de la cohérence et de la confiance.

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Les saisons professionnelles

Les saisons professionnelles

Les saisons professionnelles

Saisons professionnelles

Comme les arbres, nous traversons des saisons professionnelles.

Et chaque saison a sa sagesse

Comme les arbres, nous traversons des saisons professionnelles. Et chaque saison a sa sagesse.

Asseyez-vous sous un arbre centenaire et écoutez son silence. Il vous partage une vérité essentielle :

La croissance ne se fait pas dans l’urgence.
Car l’équilibre se construit dans l’alternance du mouvement et du repos.

Comme les arbres, nous traversons tous des saisons, mais pas au même rythme.

🌱 Certains sont en printemps, portés par un élan, des idées neuves, des projets qui germent.

☀️ D’autres vivent leur été, période d’expansion et d’accomplissement, où l’énergie est à son apogée.

🍂 Pour certains, c’est l’automne, le moment des bilans, des ajustements, des décisions importantes.

❄️ D’autres encore sont en hiver, un temps de repli, de réflexion, de régénération avant une nouvelle floraison.

Il n’y a pas de saison meilleure qu’une autre.
Nous n’évoluons pas tous au même rythme, et c’est normal.
Ce qui compte, c’est d’accepter l’étape où l’on se trouve, sans vouloir forcer un printemps alors que l’on a besoin d’hiver.

⏸️ PAUSE

Prenez 5 minutes.

Dans quelle saison êtes-vous aujourd’hui ?
Acceptez-la pleinement.
C’est dans cette reconnaissance que naît la prochaine étape.

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Travail et quête de sens

Travail et quête de sens

Travail et quête de sens

pourquoi tant d’actifs veulent partir alors qu’ils trouvent déjà du sens ?

43% des actifs envisagent de quitter leur poste pour un travail qui aurait plus de sens.

Alors que 84% des répondants déclarent que leur travail a du sens.

Un paradoxe ? 

43% des actifs envisagent de quitter leur poste pour un travail qui aurait plus de sens. Alors que 84% des répondants déclarent que leur travail a du sens.

Un paradoxe ? 

Pourquoi cet écart entre perception et intention de départ ?

3 enseignements clés :

1️⃣ Avoir un travail qui « a du sens » ne suffit pas s’il manque des leviers d’épanouissement.

➡ Le sens au travail repose sur plusieurs dimensions : utilité perçue, alignement avec les valeurs personnelles et possibilité de développement. Un travail peut être utile, mais si les conditions ne permettent pas de progresser, d’être reconnu ou d’évoluer, la frustration s’installe et l’envie de partir grandit.

2️⃣ La reconnaissance et la progression sont des points de friction majeurs.

➡ 32% des actifs citent le manque de reconnaissance et 34% jugent leur rémunération insuffisante. Un travail peut avoir du sens, mais si l’investissement personnel n’est pas valorisé, l’impression de stagner ou d’être sous-estimé l’emporte.

3️⃣ Le décalage entre attentes et réalité pèse sur l’engagement.

➡ Un travail peut sembler aligné avec ses valeurs sur le papier, mais si le quotidien est marqué par des objectifs irréalistes, un management incohérent ou un manque d’autonomie, le ressenti change.


 Que retenir ?

➡ 43% des actifs ne cherchent pas seulement du « sens », mais un cadre où ce sens se traduit en une expérience professionnelle épanouissante.

➡  La quête de sens ne se résume pas à la mission d’un poste. Elle implique des conditions de travail qui permettent de s’y investir pleinement, avec reconnaissance, évolution et alignement.

➡ Pour les entreprises, c’est un enjeu d’engagement et de fidélisation.

➡ Pour les professionnels, c’est l’opportunité de se réapproprier leur récit de carrière, en clarifiant ce qui compte vraiment pour eux et en construisant une trajectoire alignée avec leurs aspirations profondes.

Et vous, comment donnez-vous du sens à votre trajectoire professionnelle ?

—-
🧭 Et si votre carrière devenait l’histoire dont vous êtes le héros ? Je suis Magalie Vernet-Hanotaux , spécialiste du storytelling professionnel. J’aide les professionnels en quête de sens à réécrire leur trajectoire et à construire un parcours aligné avec leurs aspirations profondes.

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Changer de carrière, c’est changer d’identité

Changer de carrière, c’est changer d’identité

Changer de carrière, c’est changer d’identité

Une transition professionnelle ne se résume pas à un simple changement de poste.


C’est une reconstruction identitaire.

Votre titre professionnel vous définit. Mais le jour où vous l’enlevez, qui êtes-vous vraiment ?
Une transition professionnelle ne se résume pas à un simple changement de poste.
C’est une reconstruction identitaire.
Car derrière chaque métier, il y a une histoire, un statut, un rôle social… et une part de nous-même.

👉 Pourquoi est-ce si déstabilisant ?
Lorsque l’on quitte un job, on ne quitte pas seulement une entreprise, mais une identité :
« Je suis avocat, manager, directeur… » devient « Je suis… qui, maintenant ? »
Notre entourage nous reconnaît à travers un métier, un titre.

🎭 L’effet miroir
Notre métier structure notre quotidien, notre réseau, notre image de nous-même.
Le changer, c’est accepter de perdre des repères avant d’en retrouver de nouveaux.
C’est affronter le doute : Suis-je légitime dans ce nouveau rôle ?

Comment traverser cette transition sans s’y perdre ?
✔ Accepter la phase de flou : L’identité ne change pas du jour au lendemain, elle évolue.
✔ Ne pas tout réduire à un métier : Vos talents, vos valeurs et votre impact vont bien au-delà d’un simple intitulé de poste.
✔ Se créer un nouveau récit : Ce que vous quittez ne définit pas ce que vous allez devenir.

Changer de carrière, ce n’est pas seulement décrocher un nouveau poste, c’est se réapproprier son histoire. Ce que vous quittez ne définit pas ce que vous devenez. Votre trajectoire est faite de vos expériences, de vos talents et de ce que vous apportez au monde.

Avec la méthode É.C.R.I.R.E., je vous aide à :
✔ Évaluer votre parcours et ce qui fait sens pour vous
✔ Confronter vos doutes et croyances limitantes
✔ Révéler vos forces et talents uniques
✔ Imaginer votre avenir avec clarté
✔ Réaliser une transition alignée avec qui vous êtes
✔ Engager votre nouvelle trajectoire avec confiance

Si vous êtes en transition et que vous souhaitez redonner du sens à votre parcours, je vous accompagne dans cette transformation.

Ensemble, écrivons votre nouvelle histoire.

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Quitter son job : un véritable défi psychologique

Quitter son job : un véritable défi psychologique

Quitter son job : un défi psychologique

Quitter son job est un véritable défi psychologique.

Voici les 4 blocages majeurs qui vous empêchent d’agir.

❌ 1. Le biais du coût irrécupérable
« J’ai investi des années dans ce poste, ce serait du gâchis de partir… »

➡️ Ce que vous avez investi est déjà derrière vous. La vraie question est : combien de temps êtes-vous prêt.e à encore sacrifier ?

❌ 2. La peur de l’inconnu
« Mieux vaut un enfer connu qu’un paradis incertain… »

➡️ Mais si vous saviez que la suite pouvait être meilleure ? L’inconnu est inconfortable, mais c’est là que se trouvent les opportunités.

❌ 3. La pression sociale et financière
« Que vont penser mes proches ? »
« Et si je ne retrouvais jamais un poste aussi bien payé ? »

➡️ S’accrocher à une prison dorée, c’est s’empêcher de vivre. Il y a toujours des solutions, mais elles commencent par une prise de décision.

❌ 4. Le syndrome de l’imposteur
« Et si je n’étais pas à la hauteur ailleurs ? »

➡️ Votre job actuel ne définit pas votre valeur. Ce que vous apportez dépasse largement un titre ou une fonction.

Je rencontre beaucoup de professionnels épuisés, démotivés, vidés de leur énergie… mais qui restent.

Rester dans un job qui détruit votre énergie et votre confiance n’est pas un signe de résilience. C’est un signal d’alerte.

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La quête du job idéal

La quête du job idéal

La quête du job idéal

Mythe ou réalité ?

Il était une fois un héros. Vous.
Un travailleur en quête de sens, d’épanouissement et d’alignement.

Vous avez entendu parler du Saint Graal professionnel :
⚡ Un job qui vous passionne.
⚡ Une carrière alignée avec vos valeurs.
⚡ Un métier où chaque matin est une aventure exaltante.

Alors, vous partez en quête du job idéal.
Vous explorez des dizaines de métiers, suivez des formations, scrutez les offres d’emploi à la recherche de l’alignement parfait.
Vous traversez les terres arides du doute, combattez les dragons de l’ennui, affrontez les mirages des métiers parfaits sur Instagram

Mais après des mois, peut-être des années, vous ne trouvez rien.
Le poste idéal semble toujours vous échapper.

Pourquoi ?

La quête du job idéal : l’illusion moderne

Depuis des années, on vous répète qu’il existe quelque part un job parfait.
Un métier taillé sur mesure pour vous, qui correspondrait à vos valeurs, vos envies, et qui vous apporterait un épanouissement total.
Un travail où chaque matin serait une aventure excitante, où vous ne ressentiriez jamais l’ennui, le stress ou la frustration.

C’est une belle promesse. Trop belle.

Une illusion soigneusement entretenue

Ce mirage est alimenté par une industrie qui vous vend du rêve :
– Les médias glorifient des success stories en oubliant de mentionner les sacrifices derrière.
– Les influenceurs affichent leur carrière idyllique sur LinkedIn ou Instagram, en masquant les galères et les doutes.
– Les formations, coachings et tests de personnalité vous promettent de « trouver votre voie » en quelques semaines.

On vous fait croire qu’un jour, vous tomberez sur « le bon job », comme on rencontre l’âme sœur.
Et si vous ne l’avez pas encore trouvé ? C’est que vous n’avez pas assez cherché.
Alors, vous continuez la quête, vous passez d’un emploi à l’autre, d’une formation à une autre, en espérant une révélation.

Mais après des mois, voire des années, vous réalisez que ce Graal n’existe pas.

Le job parfait comme excuse pour ne jamais se remettre en question

Croire au job idéal, c’est aussi un moyen de se déresponsabiliser.

C’est plus simple de dire :
– « Mon travail ne me correspond pas » plutôt que de se demander comment l’améliorer.
– « Mon boss ne me valorise pas » plutôt que de chercher à se rendre indispensable.
– « Je ne suis pas motivé » plutôt que d’explorer ce qui nous anime vraiment.

Chercher un job parfait devient une excuse idéale pour éviter de se confronter à ses propres blocages.
Parce que si le problème vient de l’extérieur – le poste, l’entreprise, le marché du travail –, alors on n’a rien à changer en soi-même.

Mais en réalité, le véritable épanouissement ne vient pas de ce que vous trouvez, mais de ce que vous construisez.

Le véritable épanouissement ne vient pas de ce que vous trouvez, mais de ce que vous construisez.

Le piège de la quête infinie

Cette illusion vous enferme dans un cercle vicieux :
Vous cherchez le bon job.
Vous ne le trouvez pas.
Vous vous persuadez que vous n’avez juste pas encore assez cherché.
Vous recommencez… encore et encore.

Résultat ? Vous passez des années à être en transition perpétuelle, sans jamais bâtir une trajectoire stable et épanouissante.

C’est une boucle sans fin qui vous empêche d’agir vraiment.

La vérité brutale (mais libératrice)

Le job parfait n’existe pas.
Aucun poste ne sera entièrement aligné avec vos valeurs, vos aspirations et vos envies.
Il y aura toujours des journées ennuyeuses, des collègues difficiles, des missions rébarbatives.

Mais ce n’est pas une mauvaise nouvelle.

Parce que si aucun job parfait n’existe, cela signifie que vous n’avez pas à en chercher un.
Vous n’êtes pas condamné à une quête éternelle.

Votre épanouissement ne dépend pas d’un job, mais de la manière dont vous l’investissez.
Le vrai héros, ce n’est pas celui qui passe sa vie à chercher,
C’est celui qui décide de construire, d’améliorer, de modeler son travail pour le rendre enrichissant.

Alors, allez-vous continuer à chercher un mirage ou devenir l’alchimiste de votre propre carrière ?

Et si le problème, ce n’était pas votre job… mais vous ?

Quand on est insatisfait de son travail, la réaction la plus naturelle est de chercher des coupables à l’extérieur.
On se dit que c’est la faute de l’entreprise, du manager, du marché du travail.
On se persuade que si l’on était ailleurs, les choses iraient mieux.

Alors, vous vous dites peut-être :
– Mon travail est nul.
– Mon manager ne me valorise pas.
– Mes missions sont répétitives et sans intérêt.
– Je suis sous-payé, sous-estimé, sous-motivé.

Tout cela peut être vrai. Mais la vraie question est : et ensuite ?

Changer de job peut donner un souffle nouveau pendant un temps. Mais si vous emmenez avec vous les mêmes schémas, les mêmes frustrations, les mêmes blocages, vous finirez tôt ou tard par revivre la même insatisfaction.

C’est un piège dans lequel tombent beaucoup de personnes : croire que le problème est à l’extérieur alors qu’il est en partie en nous.

Changer d’environnement ne suffit pas si vous restez le même

Avant de chercher un nouveau poste, prenez un instant pour analyser ce que vous pouvez changer.

Si vous ressentez un manque de reconnaissance, avez-vous osé mettre en avant votre travail et exprimer vos attentes ?
Si vous trouvez vos missions sans intérêt, avez-vous cherché à innover, à proposer des améliorations, à explorer de nouvelles compétences ?
Si vous vous sentez sous-estimé, avez-vous travaillé sur votre posture, votre manière de communiquer, votre confiance en vous ?

Mais si vous emmenez avec vous les mêmes schémas, les mêmes frustrations, les mêmes blocages, vous finirez tôt ou tard par revivre la même insatisfaction.

Les bonnes questions à se poser

Plutôt que de blâmer directement votre travail, prenez un moment pour vous interroger :

Avez-vous demandé plus de responsabilités ?
Attendez-vous qu’on vous donne des opportunités ou prenez-vous l’initiative de les créer ?

Avez-vous changé votre posture pour être perçu différemment ?
Le regard des autres dépend souvent de la manière dont vous vous positionnez. Avez-vous travaillé sur votre crédibilité, votre leadership, votre manière de communiquer ?

Avez-vous identifié ce qui vous motive vraiment ?
Trop souvent, on quitte un job sans même savoir ce qu’on cherche réellement. Quels sont les éléments non négociables pour vous dans un travail ? Quelles sont les valeurs qui vous animent ?

Si vous ne faites pas ce travail d’introspection, vous risquez de reproduire les mêmes erreurs et frustrations, encore et encore.

De victime à alchimiste : la vraie transformation

Le travail parfait n’existe pas.
Mais vous pouvez devenir une version de vous-même qui s’épanouit même dans un contexte imparfait.

Cela signifie arrêter d’attendre que l’environnement change et commencer à travailler sur votre manière d’interagir avec lui.

Cela ne veut pas dire accepter un job qui ne vous correspond pas. Cela signifie que vous avez du pouvoir sur votre situation.

– Apprenez à mieux négocier votre place et votre valeur.
– Développez de nouvelles compétences pour évoluer.
– Osez sortir de votre zone de confort pour transformer votre quotidien.

C’est ainsi que vous reprendrez le contrôle de votre trajectoire.

 

Et si, au lieu d’attendre le bon job, vous deveniez la personne capable de s’épanouir et de créer des opportunités, peu importe le contexte ?

Au lieu de vous lancer dans une quête du job parfait, créez un job sur-mesure.

L’erreur la plus courante dans la construction d’une carrière, c’est d’attendre le bon job.
Celui qui correspondra parfaitement à vos attentes, à votre personnalité, à vos ambitions.

Mais attendre un poste idéal, c’est laisser votre avenir entre les mains du hasard.
C’est oublier une vérité essentielle : ce n’est pas le job qui fait la personne, c’est la personne qui façonne le job.

Plutôt que de chercher désespérément une entreprise ou un poste qui coche toutes les cases, pourquoi ne pas prendre les rênes et façonner activement votre environnement professionnel ?

Cela ne signifie pas nécessairement devenir entrepreneur ou changer radicalement de voie.
Cela signifie transformer votre job actuel ou futur en une opportunité sur-mesure, qui répond réellement à vos besoins et aspirations.

 

Comment façonner un job qui vous ressemble ?

 

1. Testez de nouvelles façons de communiquer

Votre impact au travail ne dépend pas seulement de vos compétences, mais aussi de votre capacité à les mettre en avant et à vous faire entendre.

– Avez-vous pris le temps de valoriser votre travail auprès de votre manager ?
– Savez-vous défendre vos idées en réunion ou négocier des missions qui vous intéressent ?
– Osez-vous demander un feedback régulier pour évoluer plus vite ?

La communication est l’un des leviers les plus puissants pour changer la perception que les autres ont de vous et créer des opportunités.

 

2. Changez votre approche face aux défis

Un job n’est jamais parfait, mais ce qui fait la différence, c’est votre façon de l’aborder.

Deux personnes dans le même poste peuvent vivre des expériences totalement opposées :
– L’une se sent frustrée par les contraintes et manque de motivation.
– L’autre voit chaque difficulté comme une occasion d’apprendre et d’élargir son champ d’action.

Comment réagissez-vous face aux obstacles ?
Avez-vous tendance à voir votre poste comme un cadre rigide ou comme une matière que vous pouvez modeler ?

Si vous changez votre approche, vous découvrirez des opportunités d’évolution insoupçonnées, même dans un travail qui vous semblait banal au départ.

 

3. Expérimentez de nouveaux angles dans votre travail actuel

Vous n’êtes pas condamné à exécuter votre job exactement comme il a été défini dans votre fiche de poste.

– Et si vous proposiez des idées innovantes pour améliorer certains process ?
– Et si vous testiez de nouvelles méthodes de travail pour gagner en efficacité et en satisfaction ?
– Et si vous demandiez à être impliqué dans des projets qui vous stimulent davantage ?

Beaucoup de professionnels attendent d’être officiellement promus ou d’obtenir un nouveau job pour évoluer.
Mais les véritables opportunités se créent souvent de l’intérieur, en prenant les devants et en adaptant progressivement son rôle.

 

Arrêter d’attendre que l’environnement change et commencer à travailler sur votre manière d’interagir avec lui.

Le pouvoir ne vient pas du poste, mais de celui qui l’occupe

Le mythe du job parfait nous pousse à croire que notre bien-être dépend du titre que l’on porte ou du nom de l’entreprise sur notre CV.
En réalité, ce qui fait la différence, c’est notre manière d’investir notre poste.

Un job que vous subissez aujourd’hui peut devenir une opportunité si vous prenez l’initiative de le façonner à votre image.

Alors, allez-vous attendre que votre environnement change, ou devenir l’architecte de votre propre carrière ?

Les grandes étapes de la vie professionnelle : comprendre et traverser les transitions avec clarté

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À 20 ans, on veut se lancer. À 40 ans, on prend du recul. À 60 ans, on cherche du sens. Chaque décennie transforme notre rapport au travail et à nous-mêmes.

Comment traverser ces changements en conscience, sans subir ces périodes de questionnement, mais en les vivant comme des opportunités ?

📍Consultez le guide des grandes étapes de l’évolution professionnelle et personnelle, et découvrez les défis et enjeux spécifiques à chaque phase.

 

La fin de la quête… et le début de la construction

Après avoir passé des mois, voire des années, à chercher le job parfait, un constat s’impose : il n’existe pas.

Vous pouvez continuer à explorer, à douter, à attendre le poste idéal qui changera tout.
Ou vous pouvez prendre votre destin en main et bâtir une carrière qui vous ressemble, même dans un contexte imparfait.

Vous avez deux choix :

CHOIX 1  : Continuer à chercher un mythe, en espérant un miracle.
Attendre que les circonstances soient idéales. Changer encore et encore de job en pensant qu’un jour, vous tomberez sur l’évidence.
Mais combien de temps allez-vous encore patienter avant de réaliser que cette quête ne mène nulle part ?

CHOIX 2  : Devenir l’alchimiste de votre carrière et bâtir votre propre épanouissement.
Cesser de dépendre des opportunités extérieures et commencer à créer vos propres opportunités.
Expérimenter, ajuster, évoluer dans votre poste actuel ou dans le prochain, mais toujours en étant acteur de votre trajectoire.

Décider que le pouvoir n’est pas dans l’intitulé du job, mais dans la manière dont vous l’investissez.

    Il n’y a pas de bon ou de mauvais choix. Il n’y a que celui qui vous permet d’avancer.

    Alors, êtes-vous encore en quête d’un mirage, ou déjà en train de forger votre propre légende ?

    Les étapes de la vie professionnelle

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    Comprendre et traverser les transitions avec clarté

    À 20 ans, on veut se lancer. À 40 ans, on prend du recul. À 60 ans, on cherche du sens. Chaque décennie transforme notre rapport au travail et à nous-mêmes.

    Quand je regarde mon propre parcours, je vois clairement comment je suis passée progressivement du faire (construction, ascension) à l’être (alignement, transmission, sérénité). Cette évolution, je l’observe aussi chez mes coachés.

    Nos motivations, nos ambitions et nos aspirations changent radicalement avec l’âge. Ce qui nous animait à 25 ans n’a plus rien à voir avec ce qui nous porte à 50 ans. Mais pourtant, nous ne sommes ni informés, ni préparés à ces transitions. Résultat : à chaque passage d’une phase à l’autre, nous doutons.

     

    Comment traverser ces changements en conscience, sans subir ces périodes de questionnement, mais en les vivant comme des opportunités ?

    Voici un guide des grandes étapes de l’évolution professionnelle et personnelle, avec les défis et enjeux spécifiques à chaque phase.

    Première étape de la vie professionnelle
    Explorer et s’autonomiser

    De 20 à 30 ans : « On y va ! »

    Léa, 22 ans, fraîchement diplômée, entre dans la vie active avec enthousiasme et appréhension.

    Quand elle décroche son premier CDI dans une jeune PME dynamique, elle est animée par l’excitation et le désir de prouver sa valeur. Mais au bout de quelques mois, elle se heurte aux doutes : est-ce vraiment le bon chemin ? Elle découvre le stress des premiers mois, la pression des attentes, et ce besoin constant de faire ses preuves. Son avenir semble dépendre de ses décisions : doit-elle accepter cette promotion qui la tente mais lui fait peur ? Doit-elle déjà envisager un changement de voie ? Avec le temps, elle apprend à s’affirmer, à dépasser ses craintes et à tracer son propre chemin.

    Question centrale : Qui suis-je ? Où vais-je ?

    C’est une période de découverte et de construction. On quitte la cellule familiale, on entre dans la vie active et on expérimente nos premières responsabilités. C’est aussi le moment où l’on doit gérer l’anxiété de l’indépendance, faire ses premiers choix structurants et s’adapter à un monde professionnel souvent exigeant.

    En coaching :

    Cette phase nécessite un accompagnement à l’orientation, à la recherche d’emploi, à la prise de poste et à l’adaptation à la réalité du travail.

    Défis clés :

    • Trouver sa voie et affirmer son identité professionnelle.
    • Surmonter le doute et l’anxiété du début de carrière.
    • Acquérir confiance et autonomie dans ses premiers choix.

    Chaque étape de notre parcours professionnel n’est pas une destination, mais une transition : apprendre, s’affirmer, se réinventer et, enfin, transmettre.

    Deuxième étape de le vie professionnelle :

    Construire et s’affirmer

    De 30 à 40 ans : « Y arriver, se réaliser »

    À 35 ans, Léa jongle entre un poste à responsabilités et sa vie de jeune maman.

    Léa a changé de poste deux fois au sein de son entreprise. Ses promotions successives étaient de grands moments de gratification qui lui ont permis de prendre progressivement confiance en sa valeur professionnelle.
    Son ambition est intacte, mais l’équilibre devient un combat.
    Comment réussir professionnellement sans s’épuiser ? Après plusieurs années de travail acharné, elle ressent une fatigue latente, un besoin de souffler. Elle réalise que le succès ne se mesure pas qu’aux promotions, mais aussi à sa capacité à préserver son bien-être. Elle apprend à poser ses limites, à dire non à certaines sollicitations, et à déléguer.
    Son challenge n’est plus seulement de réussir, mais de durer. Sans perdre de sa valeur.

    Question centrale : Comment concilier réussite et équilibre ?

    Cette décennie est marquée par des engagements forts : carrière, famille, responsabilités grandissantes. On veut se prouver et réussir, mais on ressent aussi une pression croissante. L’enjeu est de maintenir son énergie et de ne pas s’épuiser dans cette quête de reconnaissance et de performance.

    En coaching :

    Il s’agit d’apprendre à gérer le stress, à équilibrer ambition et bien-être, à développer son leadership et à poser des bases solides pour la suite.

    Défis clés :

    • Trouver un équilibre entre ambition professionnelle et vie personnelle.
    • Éviter l’épuisement et la surcharge mentale.
    • Développer ses compétences en management et leadership.

    Troisième étape de la vie professionnelle
    Prendre du recul et redéfinir sa trajectoire 

    De 40 à 50 ans : « Être responsable de soi et des autres »

    À 42 ans, Léa commence à douter.

    Elle a gravi les échelons, mais une question la hante : et maintenant ? L’envie de changement s’installe. Elle admire ceux qui osent se réinventer, mais peut-elle vraiment tout quitter ? Un matin, elle prend conscience qu’elle ne se reconnaît plus tout à fait dans son travail. Elle consulte un coach, explore ses envies profondes et finit par négocier une transition vers des missions plus alignées avec ses valeurs. C’est un virage délicat, mais libérateur.

    Question centrale : Quelle est ma juste place ?

    C’est l’heure des bilans. On prend conscience de ce que l’on ne sera jamais et de ce que l’on veut encore accomplir. On commence à revoir ses priorités et à questionner ses choix. Certaines personnes ressentent un besoin de reconversion ou de changement, d’autres veulent simplement réajuster leur trajectoire.En coaching : Cette phase est idéale pour travailler sur l’évolution professionnelle, la reconversion et la recherche d’un alignement plus profond entre ses valeurs et son quotidien.

    Défis clés :

    • Se réinventer sans repartir de zéro.
    • Retrouver du sens et de la motivation dans son travail.
    • Gérer les changements personnels et professionnels (enfants qui grandissent, changements familiaux, prise de nouvelles responsabilités).

    Quatrième étape de la vie professionnelle : 
    Lâcher prise et se recentrer

    De 50 à 60 ans : « Apprécier l’instant présent » 

    À 55 ans, Léa n’a plus rien à prouver.

    Léa a appris à lâcher prise sur la quête de reconnaissance. Son travail est une partie de sa vie, mais plus son identité entière. Elle ralentit le rythme, choisit ses missions avec soin et prend le temps d’accompagner les plus jeunes. Elle découvre la satisfaction de transmettre son savoir et d’être reconnue non plus pour sa performance, mais pour son expérience et son expertise.

    Question centrale : Qu’est-ce qui donne du sens à ma vie ?

    L’objectif n’est plus de gravir les échelons, mais de clarifier ses nouvelles priorités. On cherche à alléger son quotidien, à capitaliser sur son expérience et à s’engager différemment.

    En coaching :

    C’est le moment de redéfinir ses objectifs, d’apprendre à lâcher prise sur ce qui n’a plus d’importance et de valoriser son parcours pour transmettre son savoir.

    Défis clés :

    • Se recentrer sur ce qui compte vraiment.
    • Accepter une nouvelle relation au travail, moins basée sur la performance.
    • Trouver des façons de transmettre son expérience.

     

    Gravir sa carrière : Équipez-vous pour l’ascension vers le succès !

    Vous ne partiriez pas en randonnée en haute montagne sans équipement, n’est-ce pas ?
    Sans de bonnes chaussures, une bouteille d’eau ou une carte, l’ascension pourrait vite devenir un cauchemar. Il en va de même pour votre carrière. Avancer à l’aveugle, sans préparation ni stratégie, risque de vous mener dans une impasse.

    Alors, comment bien vous équiper pour atteindre vos sommets professionnels ?

    Cinquième étape de la vie professionnelle:
    Transmettre et réinventer

    De 60 à 70 ans : « Vivre autrement » 

    À 64 ans, Léa referme doucement le chapitre de sa carrière.

    Elle refuse la retraite subie et choisit d’explorer de nouvelles façons de s’engager. Elle devient mentor, écrit des articles, participe à des projets associatifs. Son énergie est toujours là, mais elle l’oriente autrement. Ce n’est pas une fin, c’est une nouvelle page qui s’ouvre.

    Question centrale : Comment utiliser ma liberté retrouvée ?

    On se détache progressivement des contraintes professionnelles et on réinvente un équilibre plus personnel. Certains se lancent dans des projets passion, d’autres s’engagent dans des causes qui leur tiennent à cœur.

    En coaching :

    Cette phase peut être accompagnée pour organiser son temps différemment, identifier de nouvelles sources de motivation et vivre une transition en douceur.

    Défis clés :

    • Appréhender la fin de carrière avec sérénité.
    • Trouver des projets alignés avec ses valeurs.
    • Accepter une nouvelle identité sociale et professionnelle.

    Sixième étape de la vie professionnelle :
    Donner du sens à son parcours

    A 70 ans : « Réfléchir et transmettre »

    À 72 ans, Léa regarde son parcours avec sérénité.

    Elle prend plaisir à raconter son histoire, à partager ses leçons de vie. Ce qui compte désormais, c’est l’héritage qu’elle laisse : non pas matériel, mais humain. Ses conseils éclairent les générations suivantes, et elle trouve une profonde satisfaction dans cette transmission. Elle n’a pas tout fait parfaitement, mais elle a toujours avancé avec sincérité.

    Question centrale : Quel héritage ai-je envie de laisser ?

    Loin d’être une fin, cette période est une opportunité pour réfléchir à ce que l’on veut transmettre : son savoir, ses valeurs, son expérience. C’est une étape riche en sagesse, où l’on cherche à cultiver un sentiment d’utilité.

    En coaching :

    Aider à structurer cette transmission sous différentes formes (livres, mentorat, engagements associatifs) et à maintenir un équilibre entre introspection et engagement.

     Défis clés :

    • Trouver une manière d’être utile et de continuer à contribuer.
    • Organiser la transmission de son savoir.
    • Apprécier pleinement le présent sans regrets.

    Conclusion : Chaque transition est une opportunité de croissance

    Les évolutions professionnelles et personnelles ne sont pas des ruptures, mais des passages. Chacune de ces étapes peut être vécue sereinement, à condition d’y être préparé.

    Où en êtes-vous dans votre parcours ?
    Comment ressentez-vous votre rapport au travail aujourd’hui ?

     

    Si vous traversez une période de doute ou de transition, sachez que vous n’êtes pas seul.e. Un accompagnement adapté permet de poser des bases solides pour la suite et d’aborder chaque phase avec confiance.

    Prêt.e à passer à l’action ? 👇

    Quels livres pour réfléchir sur ma trajectoire professionnelle ?

    Christophe Fauré – « Maintenant ou jamais ! La transition du milieu de vie » (Albin Michel, 2011)
    Un livre clé sur la crise du milieu de vie et les questionnements qui l’accompagnent, applicable aussi au parcours professionnel.📍Lien amazon

    Laurent Gounelle – « Le jour où j’ai appris à vivre »
    ➡ Un roman initiatique qui aide à réfléchir sur l’alignement entre travail et quête de sens.
    📍Lien Amazon

    Comment savoir si je suis en transition professionnelle ?

    Les signes d’une transition professionnelle incluent une perte de motivation, un sentiment de stagnation, une envie de changement ou un questionnement sur le sens de votre travail. Ces périodes sont normales et peuvent être accompagnées pour mieux les vivre.

     

    Comment réussir une reconversion professionnelle après 40 ans ?

    Une reconversion réussie repose sur une introspection approfondie, l’identification de vos compétences transférables et un accompagnement structuré. La méthode É.C.R.I.R.E. que j’ai créé en accompagnant des professionnels en quête de sens et de clarté, aide à clarifier votre projet, à trouver votre fil d’or et à le mettre en œuvre.

    Quels sont les outils pour surmonter le doute professionnel ?

    L’introspection alliée à des exercices comme le storytelling personnel permettent de mieux comprendre votre parcours et de regagner en confiance. Le storytelling aide à redéfinir votre identité professionnelle, à clarifier vos objectifs et à gagner en impact dans votre communication.

    Comment savoir si j’ai besoin d’un coach professionnel ?

    Si vous ressentez du flou sur votre trajectoire, si vous avez du mal à prendre des décisions ou si vous voulez un accompagnement structuré pour avancer avec confiance, un coaching peut être bénéfique. Un cycle de coaching de 5 séances peut déjà permettre d’y voir plus clair et de poser des actions concrètes. Cela dépend de votre situation.

    Reconversion professionnelle

    Reconversion professionnelle

    Se reconvertir est-il un luxe ? Le vrai coût d’un changement de carrière

    Changer de métier, donner un nouveau souffle à sa carrière, trouver enfin un travail en phase avec ses aspirations…

    Ces perspectives attirent de plus en plus de travailleurs en quête de sens. Pourtant, une question demeure : la reconversion professionnelle est-elle un luxe réservé à ceux qui en ont les moyens ?

    Décryptons ensemble les réalités financières de ce grand saut, chiffres à l’appui.

    Un investissement financier conséquent : combien coûte une reconversion ?

    La première barrière que rencontrent les aspirants à la reconversion est celle du coût. Selon S. Pignet (2021), le budget moyen nécessaire pour se reconvertir oscille entre 5 000 € et 8 000 €, une somme qui inclut :

    ✅ Les frais de formation
    ✅ Le coût du matériel et des outils nécessaires
    ✅ Une éventuelle perte de revenu durant la période de transition

    Si certains parcours permettent de conserver une activité salariée en parallèle, d’autres impliquent une rupture temporaire avec le monde du travail, et donc une baisse de salaire significative.

    En effet, une étude menée par Minnoy & Raemdonck (2022) sur la reconversion vers des métiers de la fonction publique révèle que le revenu peut diminuer de 10 à 20 % durant la période de transition. Cette baisse est encore plus marquée dans les métiers artisanaux ou entrepreneuriaux où les revenus peuvent être incertains les premières années.

    🔎 Conclusion ? Se reconvertir n’est pas qu’une question de motivation, c’est aussi une question de ressources financières.

     Se reconvertir est un luxe pour certain.e.s, et un investissement sur soi-même pour d’autres. Le coût d’une reconversion professionnelle est avant tout celui d’un avenir choisi.

    Des aides pour rendre la reconversion accessible ?

    Bonne nouvelle : des dispositifs existent pour alléger la facture. En France, plusieurs solutions permettent de financer une formation :

    ✔️ Le CPF (Compte Personnel de Formation), crédité en fonction des heures travaillées
    ✔️ Les aides Pôle Emploi, notamment l’AIF (Aide Individuelle à la Formation)
    ✔️ Les dispositifs régionaux qui peuvent co-financer certaines formations
    ✔️ Le Fongecif et le Plan de Transition Professionnelle (PTP) pour les salariés

    Malgré ces aides, certains restent exclus du dispositif. PL Colon (2018) montre que les financements européens et publics ne couvrent pas toujours l’intégralité des besoins, obligeant les travailleurs à compléter par leurs propres économies.

    👎 Ce qui pose problème :

    • Tous les secteurs ne sont pas éligibles aux financements publics.
    • Les auto-entrepreneurs ou indépendants doivent souvent financer leur formation eux-mêmes.
    • Certaines aides sont soumises à des critères restrictifs (ancienneté, statut professionnel).

    Les bénéfices d’une reconversion : un pari gagnant ?

    Si la reconversion impose des sacrifices financiers, elle peut aussi offrir des perspectives économiques intéressantes à moyen et long terme.

    🔹 Un meilleur équilibre de vie
    🔹 Une satisfaction professionnelle accrue
    🔹 De nouvelles opportunités d’évolution

    Selon R. Tschabuschnig (2022), certaines professions (ex. le bien-être, la formation, le digital) permettent une augmentation des revenus après un temps d’adaptation. En revanche, d’autres domaines impliquent une stagnation ou une perte de revenus durable, notamment lorsque les perspectives d’emploi sont faibles ou la concurrence élevée.

    💡 L’erreur fréquente ? Se lancer sans étudier le marché et les débouchés du nouveau métier.

    ALORS, SE RECONVERTIR EST-IL UN LUXE ?

    🔹 Un luxe ? Oui, car tout le monde n’a pas les moyens d’assumer les coûts et la perte de revenus.
    🔹 Un investissement ? Certainement, car bien préparée, une reconversion peut offrir un meilleur futur professionnel.
    🔹 Une nécessité ? Pour certains, oui. La reconversion est parfois forcée (santé, licenciement, crise économique).

    L’étude de P. Aballea & M. du Buisson (2017) sur les reconversions liées aux problèmes de santé montre que les travailleurs concernés n’ont souvent pas d’autre choix que de se réorienter, même si les dispositifs de soutien restent limités.

    Comment bien préparer sa reconversion sans se ruiner ?

    Anticiper la perte de revenu : épargner plusieurs mois de salaire avant de se lancer.
    Choisir une formation rentable : privilégier des métiers en tension ou avec des perspectives d’évolution.
    Activer tous les dispositifs d’aides : CPF, Pôle emploi, aides régionales.
    Tester son projet avant de quitter son emploi : side-project, formations courtes, mentorat.

    Conclusion : accessible à tous, mais pas sans effort

    La reconversion professionnelle n’est pas réservée aux privilégiés, mais elle demande une planification rigoureuse et une bonne stratégie financière. Si vous envisagez de sauter le pas, prenez le temps de vous informer sur les coûts, les aides disponibles et les perspectives d’emploi.

    💡 Et vous, seriez-vous prêt(e) à investir dans votre nouvelle vie professionnelle ?

    👉 Partagez votre expérience en commentaire ! 

    Gravir sa carrière : Équipez-vous pour l’ascension vers le succès !

    Vous ne partiriez pas en randonnée en haute montagne sans équipement, n’est-ce pas ?
    Sans de bonnes chaussures, une bouteille d’eau ou une carte, l’ascension pourrait vite devenir un cauchemar. Il en va de même pour votre carrière ! Avancer à l’aveugle, sans préparation ni stratégie, risque de vous mener dans une impasse.

    Alors, comment bien vous équiper pour atteindre vos sommets professionnels ?

    Prêt.e à entreprendre votre aventure professionnelle ? 🔥

    Ne laissez pas votre carrière au hasard. Construisez-la avec méthode, équipez-vous des bons outils et partez à la conquête de vos ambitions. Chaque pas compte, et chaque décision vous rapproche de votre sommet personnel. Alors, êtes-vous prêt.e à prendre votre destin en main ? 

    Si vous souhaitez être accompagné.e dans votre ascension, découvrez mes accompagnements pour structurer votre parcours professionnel avec clarté et efficacité.

    Vais-je perdre de l’argent en me reconvertissant ?

    Une baisse temporaire de salaire est souvent inévitable. Une étude de Minnoy & Raemdonck (2022) indique que dans certains métiers, les revenus peuvent chuter de 10 à 20 % durant la période de transition.

    💡 Bon à savoir : Certaines reconversions permettent une remontée rapide du salaire, notamment dans les secteurs en tension (informatique, santé, artisanat…).

    2. Quelles sont les aides financières pour changer de métier sans perdre d’argent ?

    Plusieurs dispositifs existent pour financer sa reconversion : CPF (Compte Personnel de Formation), Aide Individuelle à la Formation (AIF) de Pôle Emploi, aides régionales, Plan de Transition Professionnelle (PTP). Certains salariés peuvent aussi bénéficier d’un congé de formation rémunéré

    3. Comment se reconvertir sans perdre son salaire ?

    Pour éviter une perte de revenus, il est conseillé de choisir une formation à distance ou en alternance tout en conservant son emploi actuel. Lancer un side project avant la transition complète peut être une bonne solution. Pour cela, faites-vous accompagner par un coach ou un mentor.

    4. Quels métiers accessibles après une reconversion sont les plus rentables ?

    Les métiers du numérique (développeur web, SEO manager), de la formation en ligne, et des services à la personne offrent souvent une bonne rentabilité après reconversion. Il est essentiel d’analyser la demande du marché et les opportunités de croissance avant de se lancer.